« Mécanique, enseignée via l'Histoire des Sciences/La chute libre » : différence entre les versions

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remarque : la résistance de l'air rend ces calculs au centimètre près fictifs. Par ailleurs, on n'a pas poussé au-delà du millimètre, car il y a ambiguïté sur les ChS : on aurait dû donner T = 2,0000 s par exemple ; passons, car on a pris g = 10.
 
Fanny pragmatique conclut : bon, dans ces conditions, je reprends juste le calcul de Catherine : H < 20 m , la première correction est -1,2 m ; DONC , SI c'est une progression géométrique alternée, H = 20 (20/21,2) = 18,87 ; soit H = 18,9 m avec 3 ChS. D'ailleurs, numériquement, Béa a trouvé : H = 20 (1-3H/100)², soit sensiblement H = 20 ( 1-6/100 ), c'est ce que j'ai écrit.
 
Chaque élève a son bout de vérité. C'est souvent l'ensemble des réponses qui donne une compréhension harmonieuse. Un problème a rarement une solution exacte et la méthode initiée par Catherine est donc très appréciée ; elle conduit aussi, par itération, au résultat exact et une itération de cette sorte est très aisée à conduire avec les calculettes usuelles. En conclusion, on a besoin : 1/. de mettre en équations et, éventuellement, de sortir la physique hors des équations pour mettre tout sous forme d'un pb de math 2/. résoudre alors comme en math, avec toute les capacités des math, y compris l'analyse numérique 3/. exploiter la solution du point de vue physique.