« Rapport/ Annexe 1 » : différence entre les versions

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Figure 2 (en attente)
 
Les mines belges sont rangées en 4 catégories: les «mines sans grisou» et les «mines à grisou» qui, elles, sont subdivisées en trois catégories. Les catégories dites 1·2 et 3 sont donc toutes grisouteuses. La catégorie 1 comprend les mines «peu grisouteuses ». La catégorie 2 comprend des mines plus grisouteuses. La catégorie 3 ne se distingue des 2 autres que par le caractère à «dégagement instantané» que comportent certaines couches exploitées. Le classement d'un gisement dans la 3éme catégorie des mines à grisou n'implique donc pas que son exploitation entraîne un dégagement abondant de grisou, mais marque uniquement le fait que dans ce gisement, il y a déjà eu des manifestations de «dégagement instantané» de grisou.
 
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Par arrêté en 'date du 5 mai 1950 de la Députation Permanente de la Province du Hainaut (Ire Division n° 5.210), le siège Saint Charles est classé dans la 3éme catégorie des mines à grisou, avec, pour la partie du gisement du Carabinier, comprise entre la faille du Carabinier et le toit de la couche 6 Paumes, à l'exception de la couche 11Paumes, dispense d'observer les articles 37, 38, 38bis, 38ter, 39 et 40 de l'arrêté royal du 28 avril 1884, modifié et complété par les arrêtés royaux des 24 novembre 1924, 5 mai 1929 et 16 septembre 1939, ainsi que les articles 24, 25, 25bis de l'arrêté royal du 24 avril 1920 modifié par l'arrêté royal du 18 septembre 1939.
Les teneurs en grisou relevées dans les retours d'air des chantiers lors des dernières expériences d'aérage de juillet 1956 montrent que le gisement du siège Saint Charles n'était pas très grisouteux (cfr. annexe 4).