« Une histoire des transmutations biologiques/Approches théoriques » : différence entre les versions

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Les expérimentations apportent les particularités suivantes, que la théorie devra expliquer :
* les microorganismesmicro-organismes peuvent étendre leur capacité de transmutation à des éléments chimiques de très grandes masses atomiques (140 u.m.a. dans l'expérience de V. I. Vysotskii). ;
* les transmutations biologiques peuvent partir d'éléments radioactifs instables vers des éléments stables. ;
* La question de la direction du proton qui quitte un noyau d'azote <math>N</math> exactement en direction de l'autre <math>N</math>, dans la réaction <math>2 N :=:\rightarrow C + O.</math> ;
* La question de la direction de séparation des parties fissionnées et de leur vitesse de séparation existe aussi dans les autres fissions biologiques, car les parties doivent rester dans des positions telles qu'elles ne soient pas perdues lors de la réaction chimique et qu'elles s'intègrent bien à des molécules utiles. ;
* On comprend aussi que la "« catalyse" » des transmutations biologiques englobe à la fois la maîtrise d'une réaction chimique où un atome apparaitapparaît ou disparaitdisparaît, et la maîtrise fine de la séparation d'un noyau dans les deux parties voulues (et non d'autres fissions possibles), et leur positionnement après séparation par rapport aux molécules en cours de réactions chimiques. ;
* Dans beaucoup de transmutations, il faut une petite quantité initiale d'un élément pour en former ensuite beaucoup plus.