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== Relations de Clapeyron ==
 
le coefficient de chaleur latente de dilation<math>l \,</math> (cf. [[chaleur]]) vaut :
: <math>l = T .\cdot \frac{\partial P(V,T)}{\partial T} = P (\beta. \cdot T) \,</math>
 
de même le coefficient de chaleur latente de compression <math>''h \,</math>'' vaut :
<math>l = T .\frac{\partial P(V,T)}{\partial T} = P (\beta.T) \,</math>
: <math> h = - T \cdot \frac{\partial V(P,T)}{\partial T} = -V (\alpha. \cdot T) \,</math>
 
Ces relations sontont été trouvées très précocémenttôt. Leur vérification expérimentale par Thomson et Joule constitueront en fait le premier test que la « théorie du calorique » était fausse et qu'il fallait construire une thermodynamique, comme on la connaît aujourd'hui. (cf [[loi de Joule-Thomson]]).
de même le coefficient de chaleur latente de compression <math>h \,</math> vaut :
 
démonstrationDémonstration (actuelle) : pour <math>l \,</math>, écrire que le gradient de <math>''G''(''P'',''T'') \,</math> a un [[rotationnel]] nul.
<math> h = - T\frac{\partial V(P,T)}{\partial T} = -V (\alpha.T) \,</math>
Pour <math>''h\,</math> '', de même avec <math>''F''(''V'',''T'') \,</math>.
 
Ces relations sont trouvées très précocément. Leur vérification expérimentale par Thomson et Joule constitueront en fait le premier test que la « théorie du calorique » était fausse et qu'il fallait construire une thermodynamique, comme on la connaît aujourd'hui. (cf [[loi de Joule-Thomson]])
 
démonstration (actuelle) : pour <math>l \,</math>, écrire que le gradient de <math>G(P,T) \,</math> a un rotationnel nul.
Pour <math>h\,</math> , de même avec <math>F(V,T) \,</math>.
 
== Formules de Maxwell ==