« Climat et écocitoyens/Boisement » : différence entre les versions

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** sur des zones sensibles aux [[w:tremblements de terre|tremblements de terre]] (forêts de protection au [[w:Japon|Japon]], restaurées notamment par [[w:Akira Miyawaki|Akira Miyawaki]])
** sur des zones à risque de type [[w:glissement de terrain|glissement de terrain]], [[w:coulée de boue|coulée de boue]] et/ou [[w:avalanche|avalanche]]s. Ces forêts ou boisements peuvent protéger des villes, des installations industrielles, zones d'activité, etc.
 
 
Mais la plupart de ces actions sont surtout l'oeuvre des pays et des Etats plus que d'acteurs privés ou de petites collectivités. Néanmoins cela n’empêche pas ces individus et collectivités d'entreprendre et de réaliser des actions en lien avec la problématique de la reforestation et du reboisement comme on va en voir quelques exemples par la suite.
 
Ainsi par exemple de grandes agglomération ont conservés, renforcé ou reconstitué des ''« forêts urbaines »'' (la moitié environ de la surface de Bruxelles est constituée de la [[w:Forêt de Soignes|Forêt de Soignes]]), parfois volontairement pour maîtriser la péri-urbanisation (ex [[w:Barcelone|Barcelone]], qui a classé la forêt riveraine en zone naturelle protégée). La forêt est aussi considérée comme facteur de réduction de la pollution de l'air et d'amélioration des micro-climats (effet-tampon sur les chocs thermiques et hygrométriques). C'est aussi un milieu de haute valeur paysagère et [[w:Aménité|aménitaire]] pour la population.
 
Quelques villes ont de véritables projets de [[w:forêt urbaine|forêt urbaine]] (comme [[w:Nantes|Nantes]] en France, qui prévoit l'aménagement de trois massifs dans son agglomération)
 
La ville de [[w:Zurich|Zurich]] (Suisse) a conservé une forêt péri-urbaine, dont l'exploitation commerciale a progressivement cessé, mais qui pourrait éventuellement aussi servir de réserve de bois-énergie en cas de crise majeure.