« Cynologie/Hydatidose » : différence entre les versions

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'''Définir des zones à risque''' : Pour cela, on cherche d’éventuelles corrélations entre densités de campagnols (''[[microtus]]''), leur degré de [[prédation]] par les renards et d'autres carnivores (dont chiens et chats) et la prévalence réelle d’échinocoques.
 
'''Mieux détecter :''' Il est possible que de nombreuses zones de prévalence à bas taux d'infection n'aient pas été détectées faute d'y avoir recherché le parasite. <br /> Ainsi, une thèse (2006) a-t-elle a montré une forte prévalence d’''E. multilocularis'' chez les renards des Ardennes françaises (Microtus étant le réservoir probable) dans une zone antérieurement considérée comme épargnée par l’[[endémisme|endémie]] et où l’on n'a jamais signalé de pullulation de campagnols. Deux [[génotype]]s du parasite y ont été trouvés, identiques à ceux d’autres régions françaises, de Pologne, Slovaquie, Autriche, Suisse et Allemagne historiquement reconnues endémiques.
<br />Détecter le parasite là où sa prévalence est très basse reste très difficile, mais pourrait se faire grâce aux techniques biomoléculaires basées sur des cibles microsatellitaire (EmsB). Elles permettraient de mieux évaluer la variation génotypique des vers, mais aussi d'évaluer celle des œufs présents dans l’environnement, pour détecter d’éventuels génotypes [[éco-épidémiologie|écoépidémiologiquement]] plus « efficaces ».