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=== Seconde période tunisienne (1930 - 1939) - Rudolf Lehnert seul, Tunis et Carthage ===
 
Après une demande de nationalité française déposée en 1929 et obtenue en 1931 et le rachat de ses droits par son associé dans des conditions qui entraînèrent une brouille définitive entre les deux hommes, Lehnert revint à Tunis pour renouer avec son activité de [[portrait]]iste. D'abord installé dans un studio-appartement 22, rue d'Italie, il ouvrit un studio dans le tout récent complexe du Colisée, avenue Jules-Ferry, et s'installa dans une maison qu'il fit construire à Sainte-Monique, face à la colline de Sidi Bou Saïd. Considéré d'ailleurs comme « le » photographe de Sidi Bou Said, dont plusieurs photographies parurent dans la revue ''Tunisie'', il prit sa retraite en 1939 et, devenu veuf, termina sa vie auprès de sa fille dans la petite ville de Redeyef, une oasis du sud tunisien, où son gendre avait été nommé directeur en chef de l'hôpital des mines de phosphates. Il y décéda le 16 janvier 1948 et fut inhumé ultérieurement auprès de son épouse, le 20 octobre 1949 au cimetière de Carthage.
 
Entre temps, le studio a été repris par le gendre de Landrock, Lambelet, qui le possède toujours.
 
== L'œuvre photographique et sa diffusion ==