« États généraux du multilinguisme dans les outre-mer/Présentation/Introduction » : différence entre les versions

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C’est pourquoi a été décidée, dans le cadre du plan ministériel pour l’outre-mer, l’organisation en Guyane, du 14 au 18 décembre 2011, d’États généraux du multilinguisme dans les outre-mer, qui constituent le point d’orgue de « l’Année des outre-mer » français. Une occasion unique est ainsi offerte à ces territoires de dialoguer entre eux.
 
Microcosme représentatif de l’ensemble des problématiques linguistiques et de diversité culturelle des autres territoires, la Guyane - où sont parlés (outre le [[w:Créole guyanais|créole guyanais]]), 4 [[w:Créoles bushinenge|créoles bushinenge]] à base lexicale anglo-portugaise, 6 langues améridiennesamérindiennes et une langue asiatique (le hmong) - a une légitimité particulière à accueillir une telle rencontre, à l’heure où s’esquisse par ailleurs la constitution à Cayenne d’un « pôle d’excellence dans le domaine de la politique linguistique et des traditions orales ».
 
Les États généraux rassemblent, sur une période de deux jours et demi, quelque 250 participants venus non seulement de la Guyane, mais de l’ensemble des territoires d’outre-mer, de métropole et de pays voisins, avec pour objectif de formuler des recommandations générales et des propositions concrètes, sur des thèmes aussi divers que l’emploi des langues dans la vie sociale, leur « équipement », leur transmission à l’école et en dehors de l’école, leur place dans la vie culturelle et dans les médias.
 
[[Catégorie:États généraux du multilinguisme dans les outre-mer]]