« États généraux du multilinguisme dans les outre-mer/Présentation/éditos » : différence entre les versions

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Car, si la langue constitue indubitablement un lien fort entre les personnes, en ce qu’elle leur permet de communiquer entre elles, de se comprendre, et de partager et faire vivre leur culture commune, elle peut aussi contribuer à isoler les communautés les unes des autres si aucun effort n’est entrepris pour leur permettre de se rapprocher et surmonter la barrière de la langue afin d’apprendre à mieux se connaitre.
 
C’est pourquoi j’ai souhaité, avec l’ensemble de mon équipe, placer cette mandature sous le signe du décloisonnement et du rassemblement de l’ensemble des communautés qui composent la Guyane, en organisant plusieurs rencontres inédites et de grande envergure, telle la grande réunion des Chefschefs coutumiers [[w:amérindiens|amérindiens]] et [[w:bushinengues|bushinengues]] en avril 2011, ou encore les [[w:Journée internationale des populations autochtones|Journée internationale des populations autochtones]] les 9 et 10 décembre 2011, à Cayenne.
 
Il va de soi qu’une bonne maîtrise de la langue française par le plus grand nombre est une condition nécessaire à l’aboutissement de notre projet. Car elle seule a vocation à constituer le dénominateur commun permettant de passer d’une [[w:langue régionale|langue régionale]] ou étrangère à une autre.