« Photographie/Mesure de la lumière, posemètres/Généralités » : différence entre les versions
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Il faut toutefois rappeler ici que si le contraste des luminances du sujet est trop important par rapport au contraste utile de la surface sensible (la « dynamique »), il sera matériellement impossible d'éviter à la fois la sur-exposition et la sous-exposition. À tout prendre, il vaut généralement mieux « poser pour les lumières » de façon que celles-ci soient détaillées. En effet, lorsque l'on regarde une photographie, l'œil se dirige instinctivement vers les zones claires et si celles-ci ne contiennent rien d'intéressant, alors on peut dire que la photographie est techniquement ratée. Le sacrifice des zones sombres est alors un pis-aller plus satisfaisant que celui des zones claires.
Lorsque l'on ne disposait d'aucun appareil
Les choses ont changé avec l'apparition
Les posemètres ont d'abord été des appareils indépendants, puis ils ont été progressivement intégrés aux appareils. Dans un premier temps, aucun couplage n'était assuré entre le posemètre intégré et les éléments de l'appareil lui-même ; il fallait donc afficher les réglages
L'une des caractéristiques importantes des posemètres est leur angle de champ. Certains peuvent réaliser des mesures dites « spot » ou encore « ponctuelle » sur une faible partie du champ photographié, d'autres au contraire ont un champ de mesure beaucoup plus large.
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