« Une histoire des transmutations biologiques/Recherches de domaines liés » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
→‎2005 Fusion froide par cavitation : copie depuis w:Fusion froide
Ligne 106 :
qui commence, en janvier 2011, la commercialisation <ref name="RossiNiHcommande">{{en}} {{it}} L'entreprise a une addresse provisoire pour commander un appareil : info@leonardocorp1996.com </ref> d'un générateur thermique basé sur la fusion nucléaire du nickel et de l'hydrogène vers du cuivre. La production de masse est prévue pour fin 2011.
 
En février 2011, deux entreprises commercialisent les '''"catalyseurs d'énergie"''' aux USA et la nouvelle entreprise grecque Defkalion Green Technologies <ref name="RossiNiDefkalion">{{en}} {{el}} [http://www.defkalion-energy.com/ Defkalion Green Technologies S.A.], Ny Teknik, Grèce, février 2011</ref> assure la commercialisation exclusive en Grèce et sans exclusivité dans le reste du monde. Andrea Rossi assure le développement technique <ref name="RossiNiVente">{{en}} Mats Lewan, [http://www.nyteknik.se/nyheter/energi_miljo/energi/article3091266.ece Cold Fusion: Here's the Greek company building 1 MW], Ny Teknik, Grèce, 7 février 2011</ref>. La télévision italienne a diffusé cette information <ref name="RossiNiTV">{{en}} {{it}} Entreprise EON, [http://www.youtube.com/watch?v=fBOV7vztkVw energy catalyzer - Defkalion Green Technologies on NET tv HD], NET tv HD, Italie, 5 février 2011</ref>.
Le réacteur comporte un tube contenant de la poudre de nickel, de granularité nanométrique, avec catalyseur, fortement compactée, dans laquelle on injecte de l'hydrogène sous une pression de 2 à 20 bar, qui provient d'un réservoir incorporé. La réaction se produit à une température de 150 °C à 500 °C <ref name="RossiNiHbrevet" />. L'hydrogène doit être sans deutérium (hydrogène lourd), qui arrête la réaction <ref name="RossiNiHmarket" />.
 
Dans sa version commerciale de base, l'appareil constitue un module qui consomme 500 W d'électricité et fournit 4000 W thermiques à un circuit d'eau qui peut être monté en série pour augmenter la température, ou en parallèle pour augmenter le débit. L'entreprise limite la puissance à 4000 W pour en assurer la sécurité et la longévité, mais des expérimentations ont montré des puissances de sortie plus de 100 fois supérieures aux puissances d'entrées <ref name="RossiNiH2010" />. On le commande par un simple interrupteur électrique et il nécessite une recharge et une révision tous les six mois. Les usages prévus sont aussi bien domestiques qu'industriels. Lors de la mise en marche, la température monte à 104 °C en 2030 mn, et lors de l'arrêt l'appareil continue à produire de l'énergie pendant 1520 mn environ.
 
Le réacteur comporte un tube contenant de la poudre de nickel, de granularité nanométrique, avec catalyseur, fortement compactée, dans laquelle on injecte de l'hydrogène sous une pression de 2 à 20 bar, qui provient d'un réservoir incorporé. La réaction se produit à une température de 150 °C à 500 °C <ref name="RossiNiHbrevet" />. L'hydrogène doit être sans deutérium (hydrogène lourd), qui arrête la réaction <ref name="RossiNiHmarket" />.
 
La réaction produit des rayonnements, mais dans la version commerciale, un blindage de plomb les arrête et l'appareil en fonctionnement n'émet ni neutrons ni protons. Après l'arrêt, il n'y a plus de rayonnement ni de déchets radioactifs, même dans le réacteur central. <ref name="RossiNiHmarket" /> <ref name="LeviGreport">{{en}} Dr. Giuseppe Levi, [http://pesn.com/2011/01/27/9501752_Italian_cold_fusion_saga_continues_with_new_papers_released/LeviGreportonhe.pdf Report on heat production during preliminary tests on the Rossi “Ni-H” reactor], Université de Bologne, Pure Energy Systems News, 23 Janvier 2011</ref>
Ligne 133 ⟶ 135 :
 
<noinclude>
 
== Notes et références ==
<references/>