« Une histoire des transmutations biologiques/Recherches de domaines liés » : différence entre les versions

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* L'expérimentation de ce phénomène ne se déroule pas dans un milieu biologique.
* Les expérimentateurs ont pris soin d'éviter la formation de molécules.
* DesAux énergies utilisées, des rayonnements détectables proviennent de la transmutation par surpression d'électrons, ce que l'on n'observe pas dans les transmutations biologiques.
 
Une autre hypothèse supposait que la molécule Mg-ATP pouvait se comporter comme un cyclotron accélérateur d'électrons <ref name="MgATP">{{en}} Solomon Goldfein, Energy Development From Elemental Transmutations In Biological Systems, U.S. Army Mobility Equipment Research & Development Command, Ft. Belvoir, VA, Report 2247, May 1978</ref>.<br/>
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=== Liens avec les transmutations biologiques ===
 
L'hypothèse d'Olivier Costa de Beauregard (1975) sur les transmutations biologiques utilisait les neutrinos pour fournir ou absorber l'énergie de réaction.
 
Si la variation de la décroissance radioactive varie comme la variation d'exposition aux neutrinos, il est probable que tout le flux de neutrino participe à la décroissance radioactive (dans la limite du taux d'interaction).
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L'influence selon la période d'un jour sidéral, indique un effet non solaire, donc interstellaire, galactique ou au delà. La décroissance radioactive selon l'activité solaire et la rotation du cœur du soleil confirme l'action des neutrinos solaire.
 
La spontanéité supposée de la décroissance radioactive est donc remise en cause. D'autre part, elle est contraire au principe de la théorie quantique qui implique la nécessité d'une énergie externe pour provoquer une transformation interne du noyau.
 
Ces expérimentations renforcent la probabilité de l'hypothèse des neutrinos en transmutations biologiques et géologiques.
 
Les processus biologiques et géologiques favorisent les transmutations, c'est à dire les rendent plus probables que les conditions standards de la physique nucléaire. De combien, par quels coefficients ces processus renforcent-ils cette probabilité ?
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Des capteurs bio-électroniques amélioreraient la sensibilité des mesures, mais avec un risque d'incertitudes supplémentaires.
 
Les expérimentations en transmutations biologiques peuventpourraient participer à la formation d'une hypothèse explicative des expérimentations sur les variations de décroissance radioactive.
 
== 2011 Générateur thermique à fusion nickel hydrogène ==
 
Le professeur Sergio Focardi et l'ingénieur Andrea A. Rossi ont étudié la fusion froide depuis 1994, au Département de Physique de l'Université de Bologne <ref name="RossiNiH2010">{{en}} S. Focardi and A. Rossi, [http://www.journal-of-nuclear-physics.com/files/Rossi-Focardi_paper.pdf A new energy source from nuclear fusion], Département de Physique de l' Université de Bologne, Italie, 22 Mars 2010, Journal of Nuclear Physics</ref>.
 
En janvier 2011, ils ont annoncé <ref name="RossiNiHmarket">{{en}} Professor Sergio Focardi and Eng. Andrea A. Rossi, [http://pesn.com/2011/01/17/9501746_Focardi-Rossi_10_kW_cold_fusion_prepping_for_market/ Cold Fusion getting hot with 10kw heater prepping for market], Département de Physique de l' Université de Bologne, Italie, 14 Janvier 2011, Pure Energy Systems News</ref> la création d'une entreprise italienne <ref name="RossiNiHsite">{{en}} {{it}} Entreprise EON, [http://www.eonsrl.com/ EON srl, site officiel en construction], Région de Bologne, Italie</ref> qui commencerait, en janvier 2011, la commercialisation d'un générateur thermique basé sur la fusion nucléaire du nickel et de l'hydrogène vers du cuivre. La production de masse est prévue pour fin 2011.
 
Le réacteur comporte un tube contenant de la poudre de nickel, de granularité nanométrique, avec catalyseur, fortement compactée et à une température de 150 °C à 500 °C, dans laquelle on injecte de l'hydrogène sous une pression de 2 à 20 bar qui provient d'un réservoir incorporé.
 
Dans sa version de base, l'appareil constitue un module qui consomme 500 W d'électricité et fournit 4000 W thermiques à un circuit d'eau qui peut être monté en série pour augmenter la température, ou en parallèle pour augmenter le débit. Il est de la taille d'un moteur pour automobile de 4 cylindres pour 4 places assises. L'entreprise limite la puissance à 4000 W pour en assurer la sécurité et la longévité, mais des expérimentations ont montré des puissances de sortie plus de 100 fois supérieures aux puissances d'entrées <ref name="RossiNiH2010" />. On le commande par un simple interrupteur électrique et il nécessite une recharge et une révision tous les six mois. Les usages prévus sont aussi bien domestiques qu'industriels. L'appareil n'émet ni neutrons ni protons.
<ref name="LeviGreport">{{en}} Dr. Giuseppe Levi, [http://pesn.com/2011/01/27/9501752_Italian_cold_fusion_saga_continues_with_new_papers_released/LeviGreportonhe.pdf Report on heat production during preliminary tests on the
Rossi “Ni-H” reactor], Université de Bologne, Pure Energy Systems News, 23 Janvier 2011</ref>
 
Un appareil a fourni de la chaleur à une usine pendant 2 ans en continu. En janvier 2011, le plus gros projet en cours est la réalisation d'un générateur d'un mégawatt composé de 125 modules. Le coût de production de l'électricité par cette voie serait dix fois moindre qu'avant, environ 0,01 €/kWh au lieu de 0,1. Cette innovation est protégée par un brevet <ref name="RossiNiHbrevet">{{en}} ROSSI Andrea, [http://www.wipo.int/pctdb/en/wo.jsp?WO=2009125444 Method and apparatus for carrying out highly efficient nickel and hydrogen exothermal reaction], Application No. PCT/IT2008/000532, 04 Aout 2008, propriétaire Pascucci Maddalena</ref>.
 
Selon l'hypothèse uniquement intuitive de Focardi et Rossi, sous la contrainte du cristal de nickel, les protons de l'hydrogène diffuseraient facilement dans le cristal et ses électrons se diffuseraient avec les électrons de conductivité du cristal. Une série de mini-atomes instables d'hydrogène pourraient se former et fusionner avec les atomes de nickel, surpassant la barrière de Coulomb ; ils devraient avoir une dimension de 10<sup>-14</sup> m, distance à laquelle les forces de cohésion du noyau permettraient la fusion. L'annihilation de beta+ et beta- conduirait à l'émission de photons gamma de haute énergie, ce que les mesures semblent accréditer. <ref name="RossiNiHhypothese">{{en}} Focardi et Rossi, [http://www.journal-of-nuclear-physics.com/?p=338 Hydrogen/Nickel cold fusion probable mechanism], January 14th 2011, Bologne Italie, Journal of Nuclear Physics</ref>
<noinclude>
== Notes et références ==