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==Les logiques d’implantation==
Les pôles d'éco-citoyenneté sont avant tout des lieux physiques. Pour la majorité d'entre eux, la sensibilisation du public sur les questions de l'environnement constitue une activité principale. C'est pourquoi de nombreuses structures construisent des aménagements durables afin d'appliquer les règles de bonnes conduites qu'elles transmettent au cours de leurs animations. Pour quelques unes, des bâtiments durables sont même conçus dès leur création ([[Pôles d'éco-citoyenneté/Les principaux Pôles d'éco-citoyenneté dans le Nord-Pas-de-Calais/Geotopia|Geotopia]]). Ceux-ci travaillent en étroite collaboration avec l'ADEME (Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Energie) et intègrent ainsi les principes du développement durable: ces bâtis sont communément appelés bâtiments HQE (Haute Qualité Environnementale). Il s'agit ici de montrer aux visiteurs les opportunités qu'offrent de tels aménagements. C'est aussi la preuve ces types d'installations sont aujourd'hui possibles.
 
Aussi, les lieux indépendants, les centres d’éducation à l’environnement et les CPIE s'implantent volontairement sur des terrains spécifiques. Pour parfaire leur intégration dans l'environnement et suciter l'intérêt des visiteurs, ils vont en effet s'installer à proximité de sites biologiquement riches. Il peut s'agir d'écosystèmes forestiers (), d'écosystèmes aquatiques (), de prairies (), de terrils ou de carrières (), d'écosystèmes littoraux et dunaires ()...
 
=L’insuffisante interactivité entre les structures=