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<noinclude>{{Une histoire des transmutations biologiques}}</noinclude>
 
== 2004 ÉruptionsVariations solaires etde décroissance radioactive ==
 
Le taux de décroissance radioactive, supposé constant, varie en fait en fonctions de plusieurs facteurs :
* la radioactivité alpha du plutonium 239 Pu varie selon la periodepériode d'un jour sidéral (1436 minutes) <ref name="Shnoll" >{{en}}[http://arxiv.org/abs/physics/0412007 Fine structure of histograms of alpha-activity measurements depends on direction of alpha particles flow and the Earth rotation: experiments with collimators], Simon E. Shnoll, Konstantin I. Zenchenko, Iosas I. Berulis, Natalia V. Udaltsova and Ilia A. Rubinstein, Cornell University Library, Space Physics, 1 Dec 2004.</ref>
* la décroissance radioactive du manganèse 54 varie dès qu'un sursaut d'activité solaire se produit sans le délai de transport des particules à travers l'espace, donc probablementquasiment à la vitesse de la lumière. Et cet effet a été constaté de nuit et 1,5 jours avant les éruptions chromosphériques à la surface du soleil, donc très probablement lié aux neutrinos du cœur solaire capables de traverser la terre. <ref name="Sturrock" />
* selon l'orbite elliptique de la terre, le taux variantvarie en fonction de la distance de la terre au soleil, comme le taux d'exposition aux neutrinos, <ref name="Sturrock" />
* selon la rotation du coeurcœur du soleil où les réactions nucléaires produisent des neutrinos <ref name="Sturrock" />
* au cours des temps historiques et préhistoriques selon les datations au carbonne 14 <ref name="Sturrock" >{{en}} The strange case of solar flares and radioactive elements, Peter Andrew Sturrock, Stanford University, August 23 2010.</ref>
<ref name="Sturrock" />
 
Ces experimentations renforcent la probabilité de l'hypothèse''Liens desavec neutrinos enles transmutations biologiques et géologiques.'''
 
Si la variation de la décroissance radioactive varie comme la variation d'exposition aux neutrinos, il est probable que tout le flux de neutrino participe à la décroissance radioactive (dans la limite du taux d'interaction).
 
L'influence selon la période d'un jour sidéral, indique un effet non solaire, donc interstellaire, galactique ou au delà. La décroissance radioactive selon l'activité solaire et la rotation du cœur du soleil confirme l'action des neutrinos solaire.
 
La spontanéité supposée de la décroissance radioactive est donc remise en cause. D'autre part, elle est contraire au principe de la théorie quantique qui implique la nécessité d'une énergie externe pour provoquer une transformation interne du noyau.
 
Ces expérimentations renforcent la probabilité de l'hypothèse des neutrinos en transmutations biologiques et géologiques.
 
Les processus biologiques et géologiques favorisent les transmutations, c'est à dire les rendent plus probables que les conditions standards de la physique nucléaire. De combien, par quels coefficients ces processus renforcent-ils cette probabilité ?
 
Des capteurs bio-électroniques amélioreraient la sensibilité des mesures, mais avec un risque d'incertitudes supplémentaires.
Les expérimentations en transmutations biologiques peuvent servir à la formation d'une hypothèse explicative des expérimentations sur les variations de décroissance radioactive.
 
Les expérimentations en transmutations biologiques peuvent servirparticiper à la formation d'une hypothèse explicative des expérimentations sur les variations de décroissance radioactive.
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== Notes et références ==