« Une histoire des transmutations biologiques/Louis Corentin Kervran et son époque » : différence entre les versions
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Komaki révisé |
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[[Image:S_cerevisiae_under_DIC_microscopy.jpg|thumb|250px|Levure Saccharomyces cerevisiae]]
Hisatoki Komaki, <ref name="Komaki" >Hisatoki Komaki, Chef du laboratoire de Microbiologie appliquée de la Faculté des Sciences de la Nutrition de l'Université Mukogawa, à Nishinomiya, 1500 élèves en 1963</ref> a d'abord voulu vérifier un des résultats de Louis Kervran, puis a développé ses propres expérimentations avec ses élèves.▼
▲Hisatoki Komaki, <ref name="Komaki" >Hisatoki Komaki, Chef du laboratoire de Microbiologie appliquée de la Faculté des Sciences de la Nutrition de l'Université Mukogawa, à Nishinomiya, 1500 élèves en 1963</ref> a d'abord voulu vérifier un des résultats de Louis Kervran, puis a développé ses propres expérimentations avec ses élèves. <ref name="KomakiEN" >{{en}} Prof Dr. Hisatoki Komaki, [http://www.papimi.gr/komaki.htm An Approch to the Probable Mecanism of the Non-Radioactive Biological Cold Fusion Or So-Called Kervran Effect (Part 2)], The Biological and Agricultural Research Institute, 2-6-18 Sakamoto, Otsu, Chigaken, Japan, after 1992</ref>
Cette première série d'expérimentations de Komaki consiste à cultiver divers microorganismes avec ou sans potassium K initial, et à mesurer l’évolution de matière sèche et de potassium K. <ref name="Komaki65" >Hisatoki Komaki, Revue de Pathologie Comparée, septembre 1965</ref> (<ref name="PreuvesBio" /> p 116 à 119)▼
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On cultive 4 microorganismes : Aspergilus niger AN, Penicil chrysogenum PC, Saccharomyces cerevisiae SC, Torulopsis utilis TU.
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* TU augmente la matière sèche de 2589 à 2710 mg et augmente K de 21,0 à 23,9 mg selon les flacons.
Il y a plus de potassium résultant que de potassium entrant
La présence de potassium K initial favorise cette transmutation et l’augmentation de K est alors plus importante. (C'est vrai dans beaucoup de transmutations.)
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Conclusion : 4 microorganismes différents produisent du potassium.
La troisième série d’expériences, de Hisatoki Komaki et Mademoiselle Takiko Fujimoto pour sa thèse <ref name="Komaki69" >Hisatoki Komaki, Mademoiselle Takiko Fujimoto, Revue de Pathologie Comparée et de Médecine Expérimentale, mars 1969, num 69 p. 83.</ref> (<ref name="PreuvesBio" /> {{p.}} 117 à 129), suit le même protocole, donne des résultats du même ordre et concerne
Aspergilus terreus, Aspergilus niger, R. nigricans, Urobacilllus N° 21, 22, Urobacilllus N° 23, 24, Souche non identifiée n° 93, T. lactis condensi, H. anomala, S. rouxii, Penicil chrysogenum. (<ref name="PreuvesBio" /> p 122 à 129)
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* Sans P initial, la matière sèche est de 69 à 710 mg dans les 24 flacons et contient 1,3 à 8,0 mg de P2O5, selon les microorganismes.
* La concentration de P ne change pas dans le milieu de culture.
* Les microorganismes modifient aussi K, Mg, Fe, Ca.
Toutes ces variations de la quantité de phosphore P montrent des transmutations.▼
Cette expérience de Komaki dans une université japonaise a été reproduite au Centre d’Etudes Nucléaires de Saclay, sans radioactivité détectable (<ref name="PreuvesBio" /> p 11) donc les isotopes radioactifs P 30 et P 32 n’étaient pas présents.
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L’étude des transmutations possibles indique que l’isotope 15 de l’azote fusionne avec l’isotope 16 de l’oxygène et donne l’isotope 31 du phosphore : N 15 + O 16 :=: P 31.
Conclusions :
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== _ 1966 Les fruits qui sèchent produisent magnésium, phosphore, souffre, calcium, fer. ==
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