« Photographie/Mesure de la lumière, posemètres/Méthodes anciennes » : différence entre les versions

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Le problème de la détermination des temps de pose, ou plus généralement des conditions de pose, n'est pas nouveau. Le photographe habitué à travailler toujours dans les mêmes conditions, par exemple avec des éclairages de studio installés à poste fixe, a tôt fait de trouver les meilleures conditions opératoires. Il n'en est pas de même pour l'amateur qui photographie de façon occasionnelle ou pour le photographe qui s'essaie à tous les genres, dans toutes les conditions. On a donc très vite cherché des « trucs », des astuces, pour s'approcher dans tous les cas du temps de pose idéal permettant d'impressionner les plaques sensibles ou les films dans les meilleures conditions possibles. Le recours à des instruments de mesure n'est venu que par la suite, orsque l'état de la technique a permis d'en envisager la construction.
 
== Ce qu'en disait Louis-Philippe Clerc ===
 
« La distinction, au point de vue de la conduite des opérations, entre clichés instantanés et clichés posés n'a aucun sens ; il est même plus exact de dire que l'instantané n'existe pas : tout cliché est plus ou moins posé, mais un cliché posé très longtemps peut encore l'être trop peu, tandis qu'un cliché posé seulement quelques millièmes de seconde peut être trop posé. »