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== Évolutions techniques ==
Pendant de très nombreuses années, les appareils photographiques n'ont comporté aucun système de la mesure de la lumière, y compris dans le haut de gamme. Il fallait alors que le photographe se fie à son expérience, à des tables ou à des calculateurs de pose, ou encore à un [[posemètre]] indépendant, ce qui est devenu possible à partir du moment où ces instruments ont fait leur apparition.
 
[[File:LeicaIIIf-600.jpg|thumb|300px|center|Le [[Photographie/Fabricants/Leica/Leica IIIf|Leica IIIf]], sorti en 1950, est un appareil qui ne comporte aucun système de mesure de la lumière.]]
 
Par la suite, lorsque l'on a commencé à savoir construire des posemètres miniaturisés, beaucoup de fabricants ont cherché à les associer aux appareils. Les posemètres sont d'abord restés amovibles, avec ou sans couplage aux réglages de vitesse. Le minuscule modèle '''Sixti''', du fabricant bien connu [[Gossen]], fonctionnait en totale indépendance ; il se montait simplement dans la griffe du flash et il fallait reporter manuellement ses indications. En revanche le Leica-Meter, un posemètre au sélénium qui se monte lui aussi dans la griffe du flash, est relié directement au barillet des vitesses ; il indique l'ouverture du diaphragme à utiliser mais c'est le photographe qui doit afficher la bonne valeur sur la bague de l'objectif.
 
[[File:Leica III lightmeter IMG 0310.jpg|thumb|300px|center|Boîtier Leica équipé d'un posemètre Leica-Meter]]
 
Pour les appareils reflex, les solutions ont pu être relativement variées, en particulier pour les modèles disposant de prismes interchangeables. Les constructeurs ont bien sûr très vite cherché à réaliser la mesure de la lumière derrière l'objectif, mais il a fallu attendre pour ce faire l'apparition des cellules photo résistantes au sulfure de cadmium, beaucoup plus sensibles aux faibles niveaux lumineux que les cellules photovoltaïques au sélénium.
 
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| [[File:Prisme à cellule pour Icarex 35.jpg|200px|center]]
| [[File:Pentax-SL.jpg|200px|center]]
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|Le prisme à cellule de l'[[Photographie/Fabricants/Zeiss Ikon|Zeiss Ikon Iarex 35|Icarex 35]] ne possède aucun couplage, il se substitue simplement à un viseur à prisme sans cellule ou à un simple capuchon de visée. La mesure se fait à l'aide de l'aiguille du galvanomètre contenu dans ce viseur amovible, qui comporte une cellule CdS alimentée par une pile.
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|}
 
 
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File:Autoexpmeter.JPG
 
File:Zeiss Ikon Contessa1.jpg
 
File:Zeiss ikon contaflex sst.jpg
 
File:Zeiss Ikon Contarex.JPG
 
 
 
File:Minolta Hi-Matic.jpg
 
</gallery>
 
== Problèmes généraux ==