« Régime et gastronomie/Classification ad hoc » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
m →‎[O] OBÉSITÉ : syntaxe
Ligne 40 :
Plus le rapport est élevé, plus le risque cardio-vasculaire est grand.
Il conviendra, dans ce profil de métabolisme lipidique, d’être très vigilant sur ses apports alimentaires en graisses, en évitant au maximum certains aliments qui ne vont pas aider à maintenir un taux de LDL bas, comme nous le verrons plus loin, mais au contraire, en favorisant l’apport (modéré) de graisses riches en oméga 3 et en oméga 6, que l’on trouve dans le poisson par exemple, et qui aident l’organisme à faire circuler du cholestérol HDL.
On parle aussi de lipides insaturés (voire poly insaturés comme les oméga 3) et saturés qui différencient les lipides hypocholestérolémiants ou non. On retrouve les lipides insaturés surtout dans les graisses végétales (margarine, huiles végétales) et les lipides saturés, dans les graisses animales (beurre, saindoux..). Mais une huile insaturée perd ses propriétés avantageuses pour le métabolisme du cholestérol dès qu’elle est chauffée à plus de 60 degrés Celsius : son intérêt réside par conséquent dans son utilisation à froid (mais ses apports caloriques ne sont pas pour autant à ignorer !).
Les aliments sucrés et l’alcool seront eux aussi consommés avec très grande modération, car ils interviennent dans le métabolisme des graisses de stockage et dans les apports caloriques.