« Photographie/Photométrie/Efficacité lumineuse » : différence entre les versions

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{{EnTravaux}}
 
 
Le flux lumineux, l'éclairement,... sont des grandeurs '''visuelles''' qui ne peuvent rendre compte parfaitement de l'ensemble du rayonnement d'une source, non seulement parce que ce dernier comporte presque toujours une part très importante de radiations invisibles, mais encore parce que toutes les couleurs ne sont pas perçues avec la même intensité. Il faut donc définir de nouvelles grandeurs '''énergétiques''' correspondant aux autres grandeurs lumineuses. Le flux énergétique se mesurera en
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L est appelé "§g~iY~!~!!:0!-!!.l§f~E!:i9.~~-Q~-!~!!.l~E!:-Y~I!:i![[Utilisateur:Jean-Jacques« équivalent mécanique du lumen MILAN|Jeanvert-Jacquesjaune MILAN]]"», on a 1.C1.ici une définition équivalente à celle de l'équivalent mécanique de la calorie, bien connu des physiciens. L vaut 0,00146 W/lm.
 
Le facteur de visibilité spectral peut se mettre sous la forme : <math>K_\lambda = K_{0,555} \cdot V_\lambda = \frac{V_{\lambda}}{L}</math>
{{EnTravaux}}
 
 
 
 
I K0555 = 680 Im/W = L
 
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L est appelé "§g~iY~!~!!:0!-!!.l§f~E!:i9.~~-Q~-!~!!.l~E!:-Y~I!:i![[Utilisateur:Jean-Jacques MILAN|Jean-Jacques MILAN]]", on a 1.C1. une définition équivalente à l'équivalent mécanique de la calorie bien connu des physiciens. L vaut 0,00146 W/lm.
 
KÀ peut se mettre sous la forme: KÀ = Ko,555.VÀ = ~
 
VÀ est un coefficient variable de ° à I, appelé coefficient d'~ffis~s~~§-1~~i27 oct 2005 à 00:25 (UTC)~2E~S~E~!~ de la radiation de longueur d'onde À, ou plus simplement ~ffi~~si˧-![[Utilisateur:Jean-Jacques MILAN|Jean-Jacques MILAN]]E!:[[Utilisateur:Jean-Jacques MILAN|Jean-Jacques MILAN]] 27 oct 2005 à 00:25 (UTC)-~E~S!I~l~.
 
e 1
 
~ . <I>À
 
FÀ --------------
 
O 0,4
 
Le graphe représentant la variation de l'efficacité en fonction de la longueur d'onde est appelé ~2~IQ~ Q~-yi~iQ~!i~§-I~l~!~Y~ de l'oeil. Indépendamment du fait que certaines personnes, les Q~!!2E!:i[[Utilisateur:Jean-Jacques MILAN|Jean-Jacques MILAN]], ne perçoivent pas certaines couleurs, les nombreuses mesures de GIBSON et TYNDALL ont montré que 8% des hommes (contre seulement 0,5% des femmes) ont une vision des couleurs qui s'écarte sensiblement de la moyenne. La Commission Internationale de l'Eclairage a donc défini un "observateur moyen" et imposé les valeurs de VÀ dans une norme.
 
0,5
 
0,6
 
0,7
 
}.104
 
Le maximum de la fonction est situé vers 0,555 micron en éclairage Eh2!2Eig~~ (diurne), mais se décale dans le bleu-vert aux environs de 0,5 micron en éclairage ~S2~~Eig~~ (nocturne). L'éclairement SE§E~~S~!~iE~ correspond à des valeurs intermédiaires entre ces deux extrêmes. Ce phénomène a été étudié par PURKINJE. A la tombée de la nuit, les rouges et orangés sont très mal perçus et la lumière, bien qu'elle en contienne encore une grande proportion, paraît bleutée. Les photographies en couleurs prises à ce moment-là peuvent avoir une dominante inacceptable.
 
 
 
<math>V_\lambda \,</math> est un coefficient variable de 0 à 1, appelé '''coefficient d'efficacité lumineuse spectrale''' de la radiation de longueur d'onde <math>\lambda \,</math> ou plus simplement '''efficacité lumineuse spectrale'''.
 
 
{| border="1" cellpadding="5" cellspacing="0" align="center"
|-
|<math>F_\lambda = \frac{V_\lambda}{L} \Phi_\lambda</math>
|-
|}
 
 
Le graphe représentant la variation de l'efficacité en fonction de la longueur d'onde est appelé ~2~IQ~courbe Q~-yi~iQ~!i~§-I~l~!~Y~de visibilité relative de l'oeilœil. Indépendamment du fait que certaines personnes, lesdésignées Q~!!2E!:i[[Utilisateur:Jean-Jacquesplus MILAN|Jean-Jacquesou moins abusivement sous le terme générique de MILAN]]«daltoniens», ne perçoivent pas certaines couleurs, les nombreuses mesures de GIBSONGibson et TYNDALLTyndall ont montré que 8% des hommes (contre seulement 0,5% des femmes) ont une vision des couleurs qui s'écarte sensiblement de la moyenne. LaC'est pourquoi la Commission Internationale de l'Eclairage a doncété définiconduite à définir un "observateur moyen" et imposéà imposer les valeurs de l'éfficacité lumineuse spectrale dans une norme.
 
Le maximum de la fonction est situé vers 0,555 micron&mu;m en '''éclairage Eh2!2Eig~~photopique''' (diurne), mais se décale dans le bleu-vert aux environs de 0,5 micron&mu;m en '''éclairage ~S2~~Eig~~scotopique''' (nocturne). L''''éclairement SE§E~~S~!~iE~crépusculaire''' correspond à des valeurs intermédiaires entre ces deux extrêmes. Ce phénomène a été étudié par PURKINJEPurkinje. A la tombée de la nuit, les rouges et orangés sont très mal perçus et la lumière, bien qu'elle en contienne encore une grande proportion, paraît bleutée. Les photographies en couleurs prises à ce moment-là peuvent avoir une dominante inacceptable.