« Méthodes de génie logiciel avec Ada/Avant propos » : différence entre les versions

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=Préface à la deuxième édition=
EnLorsque relisantvers aujourd’hui (2004) il me prit l'envie de relire la première édition de cet ouvrage, parue en 1995, je fus frappé de ce qu’il était à la fois obsolète et toujours d’actualité. Obsolète, car de nouveaux langages, de nouvelles méthodes sontétaient apparus: on ne comprendrait pas aujourd’hui qu’un livre traitant des rapports entre langages de programmation et méthodes ne traite ni de Java, ni d’UML. Mais toujours d’actualité, car si les modes changent, les problèmes restent les mêmes. Les nouveaux outils permettent-ils vraiment de développer mieux qu’il y a dix ans? On est en droit d’en douter.
 
C’est pourquoi j’aije décidédécidai à l'époque de remettre à jour ce livre., Onen y retrouveraconservant l’essentiel de la version précédente, lesmais avec principalesdes modifications portant sur les langages et méthodes apparus postérieurement à l’édition originale, et en supprimant des méthodes qui avaient disparu, englouties dans la vague UML. Hélas, les contraintes de la vie professionnelle ne m'ont pas permis de mener ce projet à bout.
 
L’autreAussi, différenceplutôt parque rapportde àlaisser laperdre premièrece éditiontravail, il m'est laapparu diffusionplus intéressant de diffuser cet ouvrage sous forme de document libre. Si de nombreuses personnes m’ontm’avaient amicalement poussé à mettre à jour cet ouvrage, il ne semble pas que le marché potentiel soit de nature à intéresser un éditeur. Alors autant le mettre à disposition de tout le monde. Ceci m’a conduit à modifier considérablement la présentation, en particulier pour la mettre au format A4. Ce format n’est pas le plus agréable en terme de lecture, mais il permet de minimiser le nombre de pages, ce qui est important maintenant que chacun est libre de l’imprimer pour soi, pour ses élèves, ou pour toute autre personne intéressée.
 
Le logiciel libre, qui s’est considérablement développé ces dernières années, est un processus fondamentalement coopératif; chacun peut apporter sa contribution au développement. SiLe l’analogieWikiLivre n’estest pasen complètel'équivalent avecpour unles document librepublication, et j’espère que les lecteurs voudront bien me faire part de leurs remarques, de leurs critiques et de leur suggestions d’amélioration., Grâceou aumieux, modeapporter dedirectement diffusionleurs modifications. Grâce au libreWikiLivre, cet ouvrage pourra ainsi devenir un document vivant, évoluant au gré de l’apparition de nouvelles méthodes et de nouveaux langages. Lecteur qui bénéficiez du libre accès à ce livre, il n’appartient qu’à vous qu’il soit également un peu le vôtre!
 
En relisant aujourd’hui (2004) la première édition de cet ouvrage, parue en 1995, je fus frappé de ce qu’il était à la fois obsolète et toujours d’actualité. Obsolète, car de nouveaux langages, de nouvelles méthodes sont apparus: on ne comprendrait pas aujourd’hui qu’un livre traitant des rapports entre langages de programmation et méthodes ne traite ni de Java, ni d’UML. Mais toujours d’actualité, car si les modes changent, les problèmes restent les mêmes. Les nouveaux outils permettent-ils vraiment de développer mieux qu’il y a dix ans? On est en droit d’en douter.
 
C’est pourquoi j’ai décidé de remettre à jour ce livre. On y retrouvera l’essentiel de la version précédente, les principales modifications portant sur les langages et méthodes apparus postérieurement à l’édition originale. Des méthodes qui ont disparu dans la vague UML ne sont également plus décrites. Il y aurait certainement encore beaucoup d’autres améliorations à apporter, mais j’ai préféré obéir à l’adage qui dit: «mieux vaut quelque chose d’imparfait maintenant que quelque chose de parfait jamais».
 
L’autre différence par rapport à la première édition est la diffusion de cet ouvrage sous forme de document libre. Si de nombreuses personnes m’ont amicalement poussé à mettre à jour cet ouvrage, il ne semble pas que le marché potentiel soit de nature à intéresser un éditeur. Alors autant le mettre à disposition de tout le monde. Ceci m’a conduit à modifier considérablement la présentation, en particulier pour la mettre au format A4. Ce format n’est pas le plus agréable en terme de lecture, mais il permet de minimiser le nombre de pages, ce qui est important maintenant que chacun est libre de l’imprimer pour soi, pour ses élèves, ou pour toute autre personne intéressée.
 
Le logiciel libre, qui s’est considérablement développé ces dernières années, est un processus fondamentalement coopératif; chacun peut apporter sa contribution au développement. Si l’analogie n’est pas complète avec un document libre, j’espère que les lecteurs voudront bien me faire part de leurs remarques, de leurs critiques et de leur suggestions d’amélioration. Grâce au mode de diffusion libre, cet ouvrage pourra ainsi devenir un document vivant, évoluant au gré de l’apparition de nouvelles méthodes et de nouveaux langages. Lecteur qui bénéficiez du libre accès à ce livre, il n’appartient qu’à vous qu’il soit également un peu le vôtre!
 
=Introduction=