« Dorure sur bois » : différence entre les versions
Contenu supprimé Contenu ajouté
imported>Bobblewik units, possibly using Google converter |
ortho |
||
Ligne 3 :
Depuis l'[[Antiquité]], et notamment les [[Égypte antique|Égyptiens]], il a été d'usage de rehausser les objets d'art, de culte, ou précieux, en les recouvrant d'[[or]]. Ce métal, le seul à l'époque à avoir la particularité de ne pas s'oxyder, était symbole d'immortalité, et donc du divin.
On trouve ainsi des statuettes de bois, des objets en métal, en pierre, dont la surface totale ou partielle
Cette pratique a évolué au cours des siècles, et on dore encore aujourd'hui beaucoup d'objets. Au fil du temps, on a vu
== Dorure à la feuille ==
La dorure à la feuille, la plus ancienne, est toujours pratiquée, notamment pour des supports en [[bas-relief]] supportant mal d'autres procédés, comme le bois (encadrements de miroirs ou tableaux), le fer forgé, les plaques commémoratives, etc
L'or étant un métal très ductile, il est possible par martelage d'obtenir des feuilles très minces (quelques micromètres) et plastiques sans casser le fil du métal. Ces feuilles d'or sont alors posées à l'aide d'un pinceau sur le support préparé, parfois à l'aide de blanc d'œuf pour assurer l'adhésion. Un lustrage assure l'aspect final.
Ligne 30 :
L'objet, préalablement rendu conducteur à l'aide de plombagine (poussière de plomb) s'il ne l'était pas, est immergé dans un bain conducteur, et sert de cathode. L'anode soluble est constituée d'or pur.
Ce procédé a été
Ce procédé est actuellement le plus répandu, à l'échelle industrielle, notamment en électronique. Il permet une dorure régulière, dont on
|