« Histoire de France/La monarchie absolue » : différence entre les versions

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== '''Le costume féminin''' ==
 
LesLa robesrobe des femmes ne peuventpeut pas varier sur la longueur qui est imposée par la coutume de l’époque : jusqu'à la cheville. Alors on modifie l’ampleur de la jupe, un moment gonflée par une armature intérieure, le vertugadin. Puis on reviendra à une ligne plus tombante, avant de développer plus tard la robe à paniers avec de nombreux volants. La variété est apportée surtout par des volants de tissus différents, des ajouts de dentelles, de rubans et par des accessoires : manchons, éventails.
La coiffure se modifie souvent, les cheveux jouant avec les coiffes de dentelles et les chapeaux, mais c’est seulement au XVIIIe siècle que se développeront les perruques les plus extravagantes (en montgolfière, par exemple). Le maquillage inclut des grains de beauté artificiels, appelés mouches, dont on prétend qu’ils ont une signification différente selon leur emplacement sur le visage.
 
les femmes portent des perruques blonde tres souvent
 
== '''Molière et les costumes de son époque''' ==
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C’est dans le théâtre de Molière que l’on trouve, sous forme de railleries, la description du costume masculin des “ personnes de qualité ”.
 
Au début dkh,jif,gujg,idede '''L’école des Maris''' (1661), Ariste conseille à son frère Sganarelle de s’habiller selon la mode. Celui-ci lui répond :
"''''Il est vrai qu’à la mode il faut m’assujettir,
Et ce n’est pas pour moi que je dois me vêtir...
Ne voudriez-vous point, dis-je, sur ces matières,
De vos jeunes muguets m’inspirer Quiles laissent éventer leurs débiles cerveaux ;manières ?
M’obliger à porter de ces petits chapeaux
Qui laissent éventer leurs débiles cerveaux ;
Et de ces blonds cheveux, de qui la vaste enflure
Des visages humains offusque la figure ?
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Et de ces grands collets jusqu’au nombril pendant ?
De ces manches qu’à table on voit tâter les sauces ?
Et de ces cotillons appelés hartiuttnfhyuhernjyhjurhuigjgyjnhr,cshtu'e,q,tjfutshauts-de-chausses ?
De ces souliers mignons de rubans revêtus,
Qui vous font ressembler à des pigeons pattus ?
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Au troisième acte du '''Bourgeois Gentilhomme''' (1669), Monsieur Jourdain s’est revêtu de l’habit à la dernière mode que vient de lui apporter son tailleur. En le voyant, sa servante Nicole est prise d’un tel fou-rire qu’elle est incapable de reprendre son calme, malgré les menaces de son maître. C’est la plus belle scène du fou-rire du théâtre français.
 
== '''Molière et les costumes de son époque''' ==