« Énergie mécanique et travail » : différence entre les versions
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m Orth., Typo., typos fixed: C'est à dire → C'est-à-dire, systeme → système, . A → . À (2) |
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Ligne 87 :
<center><math>A_{AB}\cong\sum_{i=1}^{n}A_{i}=\sum_{i=1}^{n}\overrightarrow{F}\cdot\overrightarrow{\Delta l_{i}}</math></center>
Bien entendu, plus les segments <math>\overrightarrow{\Delta l_{i}}</math> sont petits, plus on "colle" au parcours.
<center><math>A_{AB}=
Ligne 200 :
== Exemples ==
* Un homme saute du plongeoir des 10 m.
:Solution :<br />
Ligne 249 :
== Limite du théorème de conservation de l'énergie mécanique ==
L'idée de conservation de l'énergie implique l'idée de récupérer l'énergie que l'on a fournit. C'est
le sont pas, on ne peut définir d'énergie potentielle. C'est le cas pour la force de frottement par exemple, pour laquelle on ne peut définir d'énergie potentielle.
Ligne 265 :
pour donner un exemple simple :
lorsqu'une bille située en haut d'une pente commemce à descendre celle-ci en partant du haut avec une vitesse nulle, cette bille à une énergie mécanique qui sera constante si l'on neglige les frottements et autres forces non conservatives. Cette énergie mécanique = énergie potentielle + énergie cinétique est constante et donc au fur et a mesure de la descente, l'énergie potentielle perdue (baisse de l'altitude la bille) est en fait trandformée en énergie cinétique (vitesse de la bille qui augmente).
Lors de la remontée de la bille
la vitesse diminuerait lors de la montee de la bille (transfert d'énergie cinétique en énergie potentielle).
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