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Dans la deuxième moitié du {{XXe siècle}}, on y a adjoint des garnitures très variées (œufs, charcuterie, légumes, fromages, crèmes glacées, fruits, etc.) salées ou sucrées, afin d'en faire des éléments d'un repas complet.
 
==TechniquesTechnique de préparation==
La plaque de préparation est circulaire et généralement sans bords. On l'appelle ''galétoire'' en français et ''[[bilig|pillig]]'' en breton (on trouve de plus en plus ''bil(l)ig'' par erreur, cette forme étant la forme [[Mutations du breton|mutée]] après l'article d'un mot féminin). L'instrument de l'opérateur est un petit rouable (''rozell'' en breton) qui permet en effectuant des mouvements horizontaux et circulaires d'étaler la pâte en une couche plus ou moins fine.
Dans l'ancienne Bretagne rurale, la galétoire était posée sur un trépied placé dans l'âtre où on faisait du feu en permanence.<br /> La galétoire est préchauffée et enduite de beurre. Par économie, les plus pauvres utilisaient une graisse animale moins coûteuse (graisse salée de porc en général, le saindoux). De nos jours, les galétoires sont souvent des réchauds incluant un chauffage au gaz ou à l'électricité.
 
Dans les années [[1960]] a été inventée une machine à confectionner des crêpes utilisée dans certains ateliers, mais pas dans les crêperies de dégustation. La fabrication des crêpes est pratiquée dans de nombreuses petites usines en Bretagne et même à l'extérieur de la Bretagne.