« Photographie/Netteté des images/Fonction de transfert de modulation » : différence entre les versions

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Quoi que l'on fasse, l'image photographique d'un objet n'est jamais parfaitement nette, même si l'œil, éventuellement assisté d'un instrument, la perçoit comme telle. Il n'existe en effet aucun objectif parfait, aucun film parfait, aucun papier photographique parfait, aucun écran parfait, etc. En d'autres termes, l'image d'une source quasi ponctuelle (une étoile lointaine par exemple) n'est jamais un point, mais toujours une tache d'étendue variable et dont la structure peut être très complexe.
 
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Les processus de dégradation (ou parfois d'amélioration) des images photograhiques sont multiples et variés :
 
* l'objectif est un authentique « cul de bouteille » qui ne donne nulle part une image nette. Avec un tel outil, la notion de profondeur de champ perd toute signification, inutile d'insister.
* la mise au point est mauvaise : le photographe ne voit plus très clair, l'aufocus est fatigué ... ou le modèle s'est déplacé.
* la pellicule ou le capteur a une structure trop grossière par rapport au résultat escompté.
* le photographe a la tremblote, l'émotion, peut-être...
* etc.
 
Ces processus interviennent simultanément et conjuguent leurs effets pour le meilleur ou plus probablement pour le pire, mais les nécessité de l'étude conduisent à les envisager l'un après l'autre.
 
 
* [[Photographie - 14 - Généralités|Généralités]]
* [[Photographie - 14 - L'œil et la netteté|L'œil et la netteté]]
* [[Photographie - 14 - Pouvoir séparateur des objectifs|Pouvoir séparateur des objectifs]]
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* [[Photographie - 14 - Profondeur de champ, première approche|Profondeur de champ, première approche]]
* [[Photographie - 14 - Profondeur de champ, théorie et pratique|Profondeur de champ, théorie et pratique]]
 
 
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