« La médiation culturelle » : différence entre les versions

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=== Nécessaire mobilisation des connaissances de la part du médiateur. ===
 
La mobilisation de connaissances est le processus de transformation des connaissances en actions concrètes dans l'intérêt du plus grand nombre. Car, pour optimiser l'expertise qu'il offre au plus grand nombre, le médiateur doit avoir un panel de savoirsavoirs et savoirsavoirs-faire.
 
Dans le cas d'animations de publics ou de projets culturels; le médiateur culturel doit avoir une culture générale en histoire, histoire de l’art, archéologie, histoire des sciences et des civilisations, urbanisme, architecture, ethnographie, etc.
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Dans le cas de développement de partenariats; le médiateur culturel mobilise des règles de procédures administratives, techniques et financières afin de créer une synergie entre les partenaires publics et privés. Il est nécessaire qu'il connaisse les acteurs du réseau des partenaires culturels. Il pourra ainsi identifier le collaborateur stratégique qui agira avec la structure cliente.
 
Dans le cas d'évaluation de publics, structures ou d'action culturelles; le médiateur mobilise les savoir-faire suivants : l'organisation d'enquête de satisfaction, l'analyse des effets et impacts des projets vis-à-vis des objectifs définis en amont, et l'exploitation des résultats de ses recherches en vue de futurs projets.
 
=== Théories des auteurs sur le rôle des médiateurs ===