« Du bon usage d'un traitement de texte » : différence entre les versions

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Tel écran, tel écrit
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Les traitements de textes sont maintenant dits « tel écran, tel écrit », ou encore selon l'acronyme anglais WYSIWYG : ''« what you see is what you get »'', « ce que vous voyez (à l'écran) est ce que vous obtenez (à l'impression) ». On a un rendu immédiat de l'action que l'on fait.
 
De ce fait, on est tenté de faire la mise en forme — mise en page, choix du type de caractère, … — en même temps que l'on rédige. Si cela ne pose pas de problème pour les applications simples, commealors unque couriertraditionnellement, cela devient vite un problème si l'on veut avoir une unité de présentation sur un document un peu volumineux ou entre plusieurs documents, par exemple avoir une charteles graphiquefonctions pourétaient uneséparées association.:
* la personne dictait sa lettre à sa secrétaire — gestion du fond —, et la secrétaire tapait la lettre selon les standards — gestion de la forme — ;
* l'auteur rédigeait à la main (manuscrit) ou à la machine à écrire (tapuscrit) — gestion du fond —, et l'éditeur se chargeait de la mise en page et de la typographie — gersion de la forme.
Si la mise en forme « à la volée » ne pose pas de problème pour les applications simples, comme un courier, cela devient vite un problème si l'on veut avoir une unité de présentation sur un document un peu volumineux ou entre plusieurs documents, par exemple avoir une charte graphique pour une association.
 
Alors qu'il apparaît dans un premier temps comme une simplification, le « tel écran, tel écrit » devient un piège. Et de fait, un certain nombre de choses que l'on montrera s'éloigneront du « tel écran, tel écrit ». Par exemple, lorsque l'on introduit un index à la fin d'un document, on ne verra pas immédiatement la liste des entrées apparaître.
 
== Conventions ==