« Boîte à jeux/Bridge cinquante ans après » : différence entre les versions

Contenu supprimé Contenu ajouté
Ligne 11 :
== Introduction ==
 
Pierre Jaïs, Roger Trezel, Bertrand Romanet, PierreRobert Lattès, Pierre Ghestem, René Bacherich, Gérard Bourchtoff et Claude Delmouly sont les huit joueurs qui menèrent, en 1956 puis en 1960, la France vers la plus haute marche du podium. À la première page de l'''Encyclopédie du Bridge Moderne'' (Fayard), Pierre Albarran les nomme dans cet ordre et avec cette orthographe (notamment Tr'''e'''zel et Bourchtof'''f'''), parmi une pléiade de vingt passionnés du jeu, de José Le Dentu (''le collaborateur le plus intime'') jusqu'à Jean-Marc Roudinesco (''le prodige'') ; il les appelle ''l'honneur d'une génération de jeunes joueurs qui me sont très proches et dont quelques-uns sont parmi mes plus chers amis.''
 
Bientôt cinquante ans... et le recul permet d'autant mieux de prendre conscience de l'importance historique de cette '''''génération Albarran''''' que la mort du maître a été suivie, de 1960 à 1980, d'une longue éclipse durant laquelle la France n'a jamais pu reconquérir le titre suprème ; il a fallu, vers la fin des [[w:années 1970]], qu'un nouveau standard émerge pour que la France retrouve un tel rang.
Ligne 18 :
 
Vu la place envisagée pour la partie historique, l'on a choisi de ne pas faire un traité complet d'enchères : lorsque des situations ne sont pas répertoriées, il suffira de se référer à des cas semblables dans le système de La Longue d'Abord devenu, entre-temps, la Majeure Cinquième. C'est au fur et à mesure qu'apparaîtront les particularités distinctives de ce Canapé. Il suffit de dire dès maintenant que ce qui le distingue le plus c'est qu'à l'ouverture de un à la couleur chaque couleur est vraiment naturelle (par quatre cartes) et dans une fourchette assez étroite de 14 à 18 points.
 
 
== La revue française de bridge ==