Palais des Beaux-Arts de Lille/Le musée des copistes



La copie d'anciens est depuis longtemps un moyen d'étudier une œuvre ou un auteur, et d'apprendre à dessiner, peindre, sculpter... Avant l'invention de la photo, c'était l'unique moyen de faire circuler la reproduction des œuvres.

Sainte-Marie-Madeleine (Marie de Magdala) en extase, huile sur toile de Rubens, conservée par le Palais des beaux-arts de Lille. Il s'agit d'un don fait par l'Etat français à la ville de Lille fait en 1803 parmi un lot de 46 œuvres qui s'ajoutent au fonds lillois aujourd'hui conservé par le Palais des Beaux-Arts de Lille).


Marie-Madeleine en extase, huile sur toile réalisée d'après un tableau de Rubens faite par Isidore-Ernest-Joseph Bonnier de Layens (né à Lille le 8 décembre 1792 et mort à Paris le 20 août 1877), peintre français qui a aussi été été conservateur du Palais des beaux-arts de Lille de 1828 à 1842. Ce tableau est conservé et visible à l'Église Sainte-Marie-Madeleine de Lille

Le musée a accueilli des milliers d’étudiants ou d’autodidactes venu étudier les techniques de leurs prédécesseurs. Un patrimoine en quelque sorte secondaire est ainsi né.