Livre d'humour/Liste de contrepèteries
- La solution est indiquée après le tiret, surlignez avec votre curseur pour la voir.
- Exemple: "Solution" (déplacer le pointeur à travers l'espace entre les guillemets tout en maintenant enfoncé le bouton gauche de la souris)
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A
modifierAimable souvent – Et sables mouvants.
À la campagne, je perçois dans ma couche les mouvements des bœufs. – À la campagne, je perçois dans ma bouche les mouvements des queues.
À veaux sensibles, pis délicats. – À peaux sensibles, vits délicats.
Allons, ma fille, essuie ça vite et bien. – Allons ma fille, essuie sa bite et viens.
Alain Afflelou. – Alain a le flou.
Après l'examen, les bachelières livrent leur Kant au feu. – Après l'examen, les bachelières livrent leurs fentes aux queues.
Arriver à pied par la Chine – Arrivé à chier par la pine
Art mathématique – Ah, matez ma trique
Arrêtez, ça me brouille l'écoute – Arrêtez, ça me broute les couilles.
Attention le pont va casser . – Attention le con va passer.
Attention vous videz vos nouilles sur ma cape ! – Attention vous videz vos couilles sur ma nappe !
Au pensionnat, elles ont toutes un toit pour se doucher. – ...elles ont toute un doigt pour se toucher.
Au vu de la vieille icône, l'élection du Grand parait problématique [1] – Au cul de la vieille Yvonne, l'érection du gland parait problématique.
Au Zambèze, les filles sont belles et gentilles – Aux Antilles, les filles sont belles et j'en baise
Aucun étudiant n'est jamais suffisamment fort pour ce calcul ! – Aucun étudiant n'éjacule suffisamment fort pour se calmer !
Aux sites de Bologne, je préfère les mines de Pompéi [1]. – Aux bites de Sologne, je préfère les pines de mon pays.
Avec leur nouveau règlement sur les munitions ils nous en perdent. – Avec leur nouveau règlement sur les punitions, ils nous emmerdent.
Avec leurs potes elles font rendre les mines. – Avec leurs mottes, elles font rendre les pines.
Avez-vous vu le bond de la crue. – Avez-vous vu le con de la bru.
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Auberge de Vendée (Menu de l')
modifier(ou Hôtel du congre debout et du bon coucher) – Hôtel du bougre de con et du con bouché
- Menu
Le choix dans la date - Le doigt dans la chatte
Bouchée à la reine – Bourrée à la chaîne
Rillettes en fût – Fillettes en rut
Tourte de cailles – Courte de taille ou Tarte de couilles
Mouton bouillant – Bouton mouillant
Le caneton à la russe – Le carton à l'anus
Les nouilles cuisant au jus de cane [1] – Les couilles nuisant au cul de Jeanne
Riz Condé – Con ridé
Jolies tranches dans le mou (la fine ou l'épaisse)[1] – Jolies manches dans le trou (la pine ou les fesses)
Escalopes sur une belle salade – Escalade sur une belle salope
Goûtez nos farces ! – foutez nos garces
Veau de Nice – vit de noce
Blanquette de Québec – quéquette de blanc-bec
Côtes du cru – crottes du cul
Poire à la fine – Foire à la pine
Les "glacés du Mans" – Les massés du gland
Crème au goût de Mont-Blanc – Crème au bout de mon gland
Vieux marc très doux – Vieux dard très mou
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B
modifierBaigneurs, admirez-moi ces cites ! – Seigneur, admirez-moi ces bites !
Barrette de shit. – Charrette de bites.
Basculer sur le terrain de l'enquête. – Enculer sur le terrain de basket.
Beau Rahan débite des caisses ! – Déborah encaisse des bites
Bête du fruit. – Faites du bruit.
Bob hésite. – Zob et bite.
Bouilleur de cru. – Couilleur de bru.ou encore Brouilleur de cul.
Bruno et son habit. (sans tabou) – Bruni et son nabot.
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C
modifierCabine 13 (treize). – Catherine baise
Calculer en 100 leçons. – s'en**** en caleçons
Cassoulet. – Eh ! Ça coule.
Ce cabot de curé a des nouilles au jus [1]. – Ce nabot de juré a des couilles au cul.
Ce couvent de femmes a été fondé par les Saluces. – Ce couvent de femmes a été sondé par les phallus.
Ce cric a l'air bon. – Ce brick a l'air con.
Ce jeune homme a une mine piteuse. – Ce jeune homme a une pine miteuse.
Ce jeune homme est attaché aux bons Cordeliers. – Ce jeune homme est attaché aux cons bordeliers.
Ce jeune homme sort de l'École des Mines de Paris. – Ce jeune homme sort de l'École des pines de Marie.
Ce n'est pas au pieu qu'est réservé le plaisir de diner. – Ce n'est pas aux dieux qu'est réservé le plaisir de piner.
Ce n'est pas tout d'avoir un bon jute, il faut savoir rouir. – Ce n'est pas le tout d'avoir un bon rut, il faut savoir jouir.
Ce petit bouillon fait la joie du corps. – Ce petit couillon fait la joie du bord.
Ce pichet a une belle mine. – Ce michet a une belle pine.
Ce terrible mondain s'insinue entre les riches. – Ce terrible rondin s'insinue entre les miches.
Ces garçons ont appris a calculer en cent leçons. – Ces garçons ont appris à enculer sans caleçons.
Ces luttes perpétuelles épuisent la malheureuse Russie. – Ces ruts perpétuels épuisent la malheureuse Lucie.
Ces vastes fouilles n'ont donné que de vieux coutres. – Ces vastes couilles n'ont donné que de vieux foutres.
Ces vastes souilles améliorent le port de votre Calvi. – Ces vastes couilles améliorent le sort de votre pâle vie.
C'est le petit vieux qui vend de la serge. – C'est le petit vieux qui sent de la verge.
C'est un fâcheux problème de math. – C'est un fameux problème de chatte.
C'est un ministre décent. – C'est un sinistre dément.
C'est une jolie bête qu'un faucon. – C'est une jolie fête qu'un beau con.
Cette crue n'interdit pas d'aller jusqu'à la grotte. – Cette grue n'interdit pas d'aller jusqu'à la crotte.
Cette femme a l'allure douteuse. – Cette dame à l'allure fouteuse.
Cette fois, j'ai senti le bout de ses galoches. – Cette fois, j'ai senti le goût de ses baloches.
Cette lutte est vraiment passive. – Cette pute est vraiment lascive.
Ce Messier est fou ! – Ce Fessier est mou !
Chirac, au fond à Bernadette, il préfère les caisses noires. – Chirac, au con à Bernadette, il préfère les fesses noires.
Ce sénégalais avait une chopine de cola. – Ce sénégalais avait une pine de chocolat.
Clotilde au nom pas irakien et qui n'est pas une barbouze sort d'une vilaine partie.[1] – Clotilde au con pas iranien et qui n'est pas une Barbie sort d'une vilaine partouze.
Ces danois me font penser à deux gros bœufs longs.
Cœur de bouillon. – Beurre de couillon.
Combien y a-t-il de feux dans votre Nantes ? – Combien y a-t-il de nœuds dans votre fente ?.
Comment peut-on dîner avec si maigre part ! – Comment peut-on piner avec si maigre dard !
Comment vider notre cale sans boucher le trou du fond. – Comment vider notre fale sans boucher le trou du con.
Conan le barbare. – Connard le barbant.
Couds-la au fond ! – Fout-la au con !
Couper les nouilles au sécateur ! – Couper les couilles au sénateur !
Croix-de-feu. – Froide queue.
Curieuses Fouilles – Furieuses Couilles.
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D
modifierDaffy Duck. – Daddy fuck.
Dans ce siècle de perdition, toutes les jeunes filles doutent de leur foi. – Dans ce siècle de perdition, toutes les jeunes filles foutent de leurs doigts.
Dans la nuit, les Terre-Neuviens craignent les proues qui tuent. – Dans la nuit, les Terre-Neuvas craignent les trous qui puent.
Défense aux dames patronnesses de quêter sur un pliant. – Défense aux dames patronnesses de péter sur un client.
Des colonnes de gauchistes se branchent sur l'Irak. – Des cochonnes de gaullistes se branlent sur Chirac.
Des pêcheurs en quête de thon. – Des pêcheurs en tête de con.
Des piles de boîtes. – Des poils de bite.
Deux carrioles sans mulets. – Deux marioles s'enculaient.
Direction et gestion. – Digestion érection.
Dommage, j'étais en face de la poutre. – Dommage, j'étais en passe de la foutre.
Du moment que j'ai la cote je n'ai pas besoin de ton dû. – Du moment que j'ai la dote, je n'ai pas besoin de ton cul.
Dur, dur. – Dur, dur.
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E
modifierEncore des nouilles (Pierre Desproges)
Écartez la mouche de cette colonne ! – Écartez la moule de cette cochonne !
Échec et mat ! - Et mec et chatte !
Elle a glissé dans la piscine avec son caleçon de satin [1]. – Elle a pissé dans la glycine avec son sale con de catin.
Elle appréhende les pistes indigènes. – ...les pines indigestes.
Elle a reçu toute la farine sur sa mante. – Elle a reçu toute la marine sur sa fente.
Elle cuvait quand on l'a emballée. – Elle bavait quand on l'a enculée.
Elle en fait des chichis pour une pauvre mite dans sa botte ! – Elle en fait des chichis pour une pauvre bite dans sa motte !
Elle hésitait à dévoiler son but devant tant de candeur. – Elle hésitait à dévoiler son cul devant tant de bandeurs.
Elle m'a menti la sotte ! – Elle m'a senti la motte !
Elle mastique la sotte ! – Elle s'astique la motte !
Elle me met la garce sur le flanc pour me sécher ! [1]. – Elle me met sa farce sur le gland pour me lécher !
Elle a été souillée jusque dans la nuque. – Elle a été couillée jusque dans l'anus.
Elles sont mordantes, les pipelettes de Pau ! ! ! ! – Elles sont mordantes, les pipes de Paulette !
Emballé par la canicule. – Enculé par la cannibale
En dérobant ses valoches, Carla nie que Sarko a un plan de rigueur : « Voyez son plan aguerri. » [1] – En dévorant ses balloches, Carla nie que Sarko a un gland de rippeur. « Voyez, son gland a péri. »
En orient j'ai vu un grand nombre de sites en babouches. – En orient, j'ai vu un grand nombre de bites en sa bouche.
En pull Lacoste. – Encule la Poste.
En se couchant, le valet pense à fermer la lumière. – En se couchant, le valet pense allumer la fermière.
Encore une tine de pâté ! – Encore une pine de tâtée !
Encouragé par sa femme le bûcheron fendait dix bois par jour. – Encouragé par sa femme, le bûcheron bandait dix fois par jour.
Et surtout par son admirable beauté de sites. – Et surtout par son admirable sauté de bites.
Elles habitent des gîtes immondes. - Elles agitent des bites immondes.
Elle en a bu une vite. - Elle en a vu une bite.
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F
modifierFeindre à la presque. – Peindre à la fresque.
Fer de mine. – Merde fine.
Fourgon blindé. – Bourdon flingué.
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G
modifierGarçon, où fourre-t-on les billes ? – Garçon, où bourre-t-on les filles ?
Ghislaine jouit d'un nom bien coté. – Ghislaine jouit d'un con bien noté.
Goûtez-moi cette farce. – Foutez-moi cette garce.
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H
modifierHâtez-vous de me faire la cour avant d'être marié. – Hâtez-vous de me faire l'amour avant d'être carié.
Henri a été maculé de boue. – Marie a été enculée debout.
Horrible, l'abysse de béton. – Horrible, la bite de Besson.
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I
modifierGiscard est rentré d'Afrique avec des diapos plein les manches (Canard enchaîné). – Giscard est rentré d'Afrique avec des diamants plein les poches.
Il a laissé tomber sa gomme sur son plan. – Il a laissé tomber sa pomme sur son gland.
Il a téléphoné. – Il a fait l'étonné.
Il courait tant de buts divers, qu'il en perdait sa belle mine [1]. – Il bourrait tant de culs divers, qu'il emmerdait sa belle pine.
Il est arrivé à pied par la Chine. – Il est arriver à chier par la pine.
Il est trop bon pour la quitter. – Il est trop con pour la biter.
Il étale la pâte sur la bûche – Il étale la pute sur la bâche
Il fait beau et chaud – Il fait chaud et beau
Il faut être peu pour bien dîner . – Il faut être deux pour bien piner.
Il faut qu'il rende, ce vieux bouquin. – Il faut qu'il bande, ce vieux rouquin.
Il la mouche parce qu'elle est alitée. – Il la touche car elle est à limer.
Il le dit à deux femmes. – Il le fit à deux dames.
Il m'a promis son tennis. – Il m'a trop mis son pénis.
Il ne faut pas bâcler les rites. – Il ne faut pas racler les bites.
Il ne faut pas mettre la tête de son lit dans les vitres. – Il ne faut pas mettre la tête de son vit dans les litres.
Il n'y a pas que de bons côtés au concours hippique. – Il n'y a pas que de cons bottés au concours hippique.
Il n'y a que la femme du meunier qui soit capable de bâter une mite. – Il n'y a que la femme du meunier qui soit capable de mâter une bite.
Il y a deux sortes de gendarmes: les courts et les longs. – Il y a deux sortes de gendarmes: les lourds et les cons.
Il y a ici des tentes à foison. – Il y a ici des fentes à toison.
Il y a là de jolis sites pour bâtir. – Il y a là de jolies bites pour satires.
Il y a du Moka dans l'auto Kabile – Il y a du caca dans l'automobile.
Il y a un coteau près du pont. – Il y a un poteau près du con.
Il y a une panne de micro dans les pièces du fond - Il y a une pine de maquereau dans les fesses du pion.
Ils n'avaient que de vieilles caisses pour ranimer leur feu. – Ils n'avaient que de vieilles fesses pour ranimer leurs queues.
Ils en perdit son latin à l'extérieur – Il en perdit son latex à l'intérieur.
Il ne faut pas glisser dans la piscine – Il ne faut pas pisser dans la glycine.
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J
modifierJ'ai admiré de jolis sites en faisant ma balade. – J'ai admiré de jolies bites en faisant ma salade.
J'ai bouffé dans la louche de la baronne. – J'ai louffé dans la bouche de la baronne.
J'ai le nom de la russe sur le bout de la langue. – J'ai le rond de l'anus sur le bout de la langue.
J'ai mis en perce un fût de Kummel.
J'aime à sucer le jonc de ma petite canne. – J'aime à sucer le con de ma petite Jeanne.
J'aime le goût de ce petit blanc. – J'aime le bout de ce petit gland.
J'ai fait ça afin d'avoir un coin du son – J'ai fait ça afin d'avoir un soin du con.
J'approche le cou du but. – J'approche le bout du cul.
Jean-Marie Le Pen. (attribué à Jean Cocteau) – En Paris je l'aime, ou : Jean Marais le pine.
Jean-Paul, le pape. - J'empale le Pope.
Je donnerais bien ma paie pour avoir votre rubis. – Je donnerais bien ma raie pour avoir votre pubis.
Je munirai ta lame d'un beau manche en fer. – Je munirai ta femme d'un beau manche en l'air.
Je n'ai pas de rebord à mes épaulettes. - Je n'ai pas de remords à baiser Paulette.
Je n'aime pas le son de votre cœur. – Je n'aime pas le con de votre sœur.
Je ne suis pas pressé pour dîner. – Je ne suis pas dressé pour piner.
Je ne suis pas homme à mettre le produit de mes fouilles dans des caisses. – Je ne suis pas homme à mettre le produit de mes couilles dans des fesses.
Je plains les fous de contrepèteries. – Je pétris les cons de foutre plein.
Je suis fasciné par les grues des Causses. – Je suis fasciné par les culs des grosses.
Je vous trouve un peu trop nourri pour mon goût. – Je vous trouve un peu nourri pour mon gros trou.
Je vous laisse le choix dans la date. – Je vous laisse le doigt dans la chatte.
Je vous vois bien en curé avec une calotte. – Je vous vois bien enculé avec une carotte.
Jeanne d'Arc avait une cotte de mailles. – Jeanne d'Arc avait une motte de cailles.
Joseph a maculé Henri. – Joseph a enculé Marie.
Jules Verne. – Nulle verge.
K
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L
modifierLa
modifierLa baronne invite le penseur à dîner. – La baronne a invité le danseur à piner.
La belle passagère a attrapé des coups sur le pont. – La belle passagère a attrapé des poux sur le con.
La berge précède le vide. – La verge précède le bide.
La bonne épouse connaît son dû. – La bonne épouse donnait son cul.
La bonne ménagère bouche les trous de mites. – La bonne ménagère mouche les trous des bites.
La boulangère a une maie qui rouille. – La boulangère a une raie qui mouille.
La bureautique est un mythe. – La bite au cul m'est un rite.
La canicule n'a rien pour m'emballer. – La cannibale n'a rien pour m'enculer.
La cantinière porte une grosse d'œufs au camp. – La cantinière porte une grosse queue aux dents.
La Chine se soulève à la vue des Nippons. – La pine se soulève à la vue des nichons.
La comtesse apercevait de superbes sites autour de son balcon. – La comtesse apercevait de superbes bites autour de son sale con.
La cuisinière a reçu un coup sur son fond. – La cuisinière a reçu un fou sur son con.
La cuisinière fait des nouilles auprès de mon feu. – La cuisinière fait des fouilles auprès de mon nœud.
La cuisinière s'est aperçue que son mouton bouillait. – ... que son bouton mouillait
La cuvette est pleine de bouillon. – *La buvette est pleine de couillon.
La dame essuie son fard avec son manteau couvert de loutre. – La dame essuie son lard avec son manteau couvert de foutre.
La dévote se contente d'un sort falot. – La dévote se contente d'un fort salop.
La femme du capitaine m'a fait mander à bord. – La femme du capitaine m'a fait bander à mort.
La femme du charpentier doit se contenter d'un petit feu de poutre. – ... un petit peu de foutre.
La femme du chef d'orchestre a fait mander le basson. – ... bander le maçon.
La femme du contribuable demande qu'on modifie sa cote. – ... qu'on codifie sa motte.
La femme du mineur est ensevelie sous des piliers de mine. – ... sous des milliers de pines.
La fermière attrape les bœufs à la course. – ... les queues à la bourse.
La fiancée du bijoutier est heureuse d'avoir à sa disposition une mine de perles. – ... une pine de merles.
La fillette timide mâchait sa cotte. – ... cachait sa motte.
La flotte de la reine est prête. – La flotte de l'arête est pleine.
L'Afrique en transe. – La trique en France.
La grande galope seule. – La salope grande gueule.
La jeune existentialiste se prête au jeu du néant. – ... au nœud du géant.
La jeune fille contemple un plant qui vient de la Guinée. – ... un gland qui vient de la piner.
La jeune fille toussait en se mouchant. – ... moussait en se touchant.
La maison peut également procurer des rillettes en fût. – ... des fillettes en rut.
La Miss pousse. – La pisse mousse.
La pauvre femme est folle de la messe. – ... molle de la fesse.
La petite espiègle me cacha les mouilles. – ... me mâcha les couilles.
La petite nonne aime les gros œufs. – La petite zone aime les gros nœuds.
La philanthropie de l'ouvrier charpentier. – La tripe en folie de l'ouvrier partant chier.
La pratique de la contrepèterie consiste en l'art de décaler les sons que l'on débite avec la bouche. – ...consiste en l’art de dessaler les cons que l’on débouche avec la bite.
La reine avait une pierre fine à la main. – ... une fière pine à la main.
La résistance excite les sections de rapine. – ... l'érection de sa pine.
La rosière songe à la mine orgueilleuse du père. – La rosière songe à la pine orgueilleuse du maire.
La serge du vicaire avait beaucoup plu à la dame du fiacre [1]. – La verge du sicaire avait beaucoup plus à la femme du diacre.
La servante du curé se demande ce qu'il fait entre ses deux messes. – ... ce qu'il met entre ses deux fesses.
La servante tire le pis de la vache.- La servante tire le vit de l'apache.
La symphonie fantastique. – Nympho s'astique la fente.
La vieille chouette suçait les vers du nid. -...les nerfs du vit.
La vache qui rit. – L'avare qui chie.
Laisse ta biquette au pieu, Nanette ! – Baisse ta liquette au pieu, Nanette !
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L'
modifierL'ai touché l'autre jour un petit bon carré. – J'ai bourré l'autre lourd, un petit thon caché.
L'abeille coule. – La belle couille.
L'Afrique est bonne hôtesse. – La trique est bonne aux fesses.
L'Américain montre à la jeune fille la pureté de son dollar. – L'Américain montre à la jeune fille la dureté de son polar.
L'amiral nous brouille l'écoute avec sa panne de micro. [1] – L'amiral nous broute les couilles avec sa pinne de macro.
L'antiquaire emporte dans ses caisses le produit de mes fouilles. – L'antiquaire emporte dans ses fesses le produit de mes couilles.
L'archéologue met le produit de ses fouilles dans de vieilles caisses. – L'archéologue met le produit de ses couilles dans de vieilles fesses.
L'armurier se plaint que ma sœur lui couche les douilles. – L'armurier se plaint que ma sœur lui douche les couilles.
L'aspirant habite Javel. – J'avais la bite en spirale.
L'arrivée du régiment de Forbach nous a privé d'une bonne partie de messe. – L'arrivée du régiment de Morbac nous a privé d'une bonne partie de fesse.
L'art de décaler les sons. – L'art de dessaler les cons
L'assureur est fou du malus. – L'assureur est mou du phallus.
L'écuyère se plaint que le mouton de sa botte est trop dur. – L'écuyère se plaint que le bouton de sa motte est trop dur.
L'Efferalgan – L'effet larguant
L'effet Kiss Cool. – Les fesses qui coulent.
L'éleveur de colombins expose une paire de mâles.
L'éleveuse, dont la meute évolue, revient de la ferme pleine d'espoir. [1] – L'éleveuse, dont la motte est velue, revient de la foire pleine de sperme.
L'épicière ajoute un quart à son dû. – L'épicière ajoute un dard à son cul.
L'épicurien se plaît à rechercher les sources du bonheur. – L'épicier se plaît à rechercher les bourses du sonneur.
L'épouse déplore que son mari soit mort fou. – ... que son mari soit fort mou.
L'ingénieur avait fait poser une valise sur ma berge. – L'ingénieur avait fait poser une balise sur ma verge.
L'inspecteur primaire voudrait voir les bons cahiers. – L'inspecteur primaire voudrait voir les cons bailler.
L'ouvrière est passive devant la linotype. – L'ouvrière est lascive devant la pinne au type.
L'usage d'inoculer du pus de génisse s'est répandu très rapidement. – L'usage d'inoculer du jus de pénis s'est répandu très rapidement.
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Le
modifierLe bourrelier aime mieux faire la bourre que de travailler le mouton. – Le bourrelier aime mieux faire l'amour que de travailler le bouton.
Le bout pendait. – Le pou bandait.
Le boutre du sultan coule au confluent de la Garonne. – Le foutre du sultan coule au con gluant de la baronne.
Le Caire est noir de monde. – Le con est noir de merde.
Le calot était dans le son. – Le salop était dans le con.
Le chasseur sous-marin recherche les fonds curieux. – ... recherchent les cons furieux.
Le choix dans la date. – Le doigt dans la chatte.
Le clerc du notaire ne peut atteindre son but. – Le blaire du notaire ne peut atteindre son cul.
Le coche finit toujours par arriver au but. – Le boche finit toujours par arriver au cul.
Le coureur a gagné, en se couchant, le but. – Le coureur a gagné en se touchant le cul.
Le cuisinier a un canard sur le feu. – Le cuisinier à un cafard sur le nœud.
Le cuisinier met du cœur à ses bouillons. – Le cuisinier met du beurre à ses couillons.
Le curé est devenu fou entre deux messes. – Le curé est devenu mou entre deux fesses.
Le douanier a visité les caisses de l'exploratrice jusqu'au fond. – Le douanier a visité les fesses de l'exploratrice jusqu'au con.
Le fard plaît aux dames. – Le dard plaît aux femmes.
Le fiancé expose son vœu : un joli nid. – Le fiancé expose son nœud : un joli vit.
Le fric c'est pas la peine. – L'Afrique c'est pas Le Pen.
Le grand Inquisiteur se plaint que ses fagots coûtent.
Le grand nombre des monts empêche de les compter. – Le grand nombre de cons empêche de les monter.
Le gros entrepreneur pétrit le béton à la tonne. – Le gros entrepreneur pétrit le téton à la bonne.
Le jardinier bine avec sa pelle. – Le jardinier pine avec sa belle.
Le jeune homme qui vissait son lit. – Le jeune homme qui lissait son vit.
Le joueur adroit sait enfoncer la quille au but. – Le joueur adroit sait enfoncer la bille au cul.
Le légionnaire m'a passé le mot. – Le légionnaire m'a massé le pot.
Le magasinier a touché un bon de cretonne. – Le magasinier a touché un con de bretonne.
Le maniement réitéré des fonds multiplie les mouvements de caisse. – Le maniement réitéré des cons multiplie les mouvements de fesses.
Le matelot veut quitter le bord de la Belle-Poule. – Le matelot veut biter le corps de la belle poule.
Le mercanti vendait assis sur une berge. – Le mercanti bandait assis sur une verge.
Le mineur au pâle visage tire sa houille de bon cœur [1]. – Le pineur au mâle visage tire sa couille de bonheur.
Le ministre du commerce trouve que toutes les baisses sont faisables. – Le ministre du commerce trouve que toutes les fesses sont baisables.
Le ministre italien est tombé à la crise des Pouilles. – Le ministre italien est tombé à la prise des couilles.
Le Ministre Tron prend mal l'élan. – Le ministre lent prend mal l'étron.
Le mitrailleur a épuisé ses douilles sur un crapaud. – Le mitrailleur a épuisé ses couilles sur un drapeau.
Le mitron coffre le son de la boulangère. – Le mitron s'offre le con de la boulangère.
Le nom de Cana a un attrait mystique. – Ce con de Mana a un attrait mystique.
Le paysan avait fourré son coutre dans un vieux fût. – Le paysan avait fourré son foutre dans un vieux cul.
Le Périgord est réputé par sa culsme
Le pirate ramène à son port une cargaison de butin. – Le pirate ramène à son bord une cargaison de putains.
Le plan De Gaulle a fait saigner le cœur de Massu. [1] – Le gland de Paul a fait saigner le cul de ma sœur.
Le plongeur a exploré le fond de la Creuse. – Le plongeur a exploré le con de l'affreuse.
Le pont de la Belle Eugénie est plein de curés. – Le con de la Belle Eugénie est plein de purées.
Le Pont Neuf fait un bon soixante pieds.
Le roi en retarda la peine jusqu'au matin.
Le roi nègre avait son gourbi plein de phonos. – Le roi nègre avait son fourbi plein de gono [gonorrhée].
Le sabotier offrit une paire de galoches à sa bru. – Le sabotier offrit une paire de baloches à sa grue.
Le sang d'Étaix. – Le sexe détend.
Le Sénégalais a emporté le quart et les douilles de l'Arabe comme souvenir. – Le Sénégalais a emporté le dard et les couilles de l'Arabe comme souvenir.
Le sommelier connaît bien l'appellation des fines. – Le sommelier connaît bien la fellation des pines.
Le speaker nous brouille l'écoute avec sa panne de micro. [1] – Le speaker nous broute les couilles avec sa pine de macro.
Le tapissier agite son pinceau dans le fond de la colle. – Le tapissier agite son pinceau dans le con de la folle.
Le temps file en QG. – Je t'enfile en...
Le tennis de Noah est prévisible. – Le pénis de Noah est très visible.
Le tonnelier a une curieuse manière de défoncer les vieux fûts. – Le tonnelier a une furieuse manière de défoncer les vieux culs.
Le touriste admire l'écusson de la Suisse. – Le touriste admire les suçons de la cuisse.
Le tout de mon cru (titre de recueil resté longtemps imaginaire, publié par Jacques Antel) – Le trou de mon cul.
Le tout est confus. – Le con est touffu.
Le vent siffle dans la rue du quai. [1]- Le vit s'enfle dans la raie du cul.
Le vieil artisan tisse en plusieurs passes. – Le vieil artisan pisse en plusieurs tasses.
Le vieux marcheur admire les fortifications de Metz. – Le vieux marcheur admire les mortifications de fesses.
Le vieux marcheur veut courir sur le mont. – Le vieux marcheur veut mourir sur le con.
Le vieux marin gratte le fond de sa quille avec un fer d'herminette [1].
Le vieux monsieur parle d'un ton couvert. – Le vieux monsieur parler d'un con tout vert.
Le vieux passeur a la mine fatiguée. – Le vieux masseur a la pinne fatiguée.
Le prix du cor.-"Le cri du porc."
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Les
modifierLes bas-quartiers de Paris sont minables. – Les bas-quartiers de Marie sont pinables.
Les berges sont à vous. – Les verges sont à bout.
Les blanchisseuses de Toulon présentent à la marine des notes fort suspectes. – Les blanchisseuses de Toulon présentent à la narine des mottes fort suspectes.
Les bons éleveurs caressent affectueusement le cou de leurs bœufs. – ... le bout de leurs queues.
Les bons italiens sont en caisse. – Les cons italiens sont en baisse.
Les canotières appréciaient la raideur des berges de visu. – Les canotières appréciaient la raideur des verges de bizut.
Les députés socialistes qui n'ont pas la parole peuvent se vécés. – Les députés socialistes qui n'ont pas la vérole peuvent se passer.
Les disciples d'Einstein voient le monde conique. – ... voient le con de Monique.
Les discours de Bush sont longs et cassants. – Les discours de Bush sont cons et lassants.
Les dockers ont de beaux cars. – Les cockers ont de beaux dards.
Les dockers sont allés décharger au su des caboteurs en grève. – Les dockers sont allés décharger au cul des saboteurs en grève.
Les écoliers chahutent la maîtresse laissant faire. – ... en fessant l'air.
Les enfants vont près du feu pour faire briller leurs galoches. – Les enfants vont près du feu pour faire griller leurs baloches.
Les femmes au maître du sérail : « C'est votre mine qui nous peine ». – C'est votre pinne qui nous mène.
Les femmes n'apprécient pas le marc trop doux. – Les femmes n'apprécient pas le dard trop mou.
Les femmes n'ont pas l'habitude de mettre leur quart au trou du fût.
Les fillettes jouent avec les pioches des mineurs. – ... les mioches des pineurs.
Les fouilles curieuses de Mme Dieu la foy.
Les gites secouent la passagère qui crie et bascule. – Les bites secouent la passagère qui crie, éjacule.
Les gros bœufs du nord ont fait souche dans le midi [1].
Les informaticiennes ont l'habitude de compiler le C. – Les informaticiennes ont l'habitude de s'épiler le con.
Les Italiennes choisissent des quines à la Loterie des Pouilles. – Les Italiennes choisissent des pinnes à la Loterie des couilles.
Les jeunes filles romanesques adorent les nids à verdure. – Les jeunes filles romanesques adorent les vit à nerf dur.
Les jeunes femmes revenaient de la ferme pleines d'espoir jusqu'au pont du Jura [1]. – Les jeunes femmes revenaient de la foire pleines de sperme jusqu'au ras du jupon.
Les laborieuses populations du Cap. – Les laborieuses copulations du Pape.
Les lutins pêchent les maquereaux. – Les putains lèchent les macros.
Les marins jouaient avec des filles sur leur boutre. – Les marins jouaient avec des billes sur leur foutre.
Les mécaniciens ont appris depuis longtemps à se méfier des douilles coûteuses et des fausses graisses. – Les mécaniciens ont appris depuis longtemps à se méfier des couilles douteuses et des grosses fesses.
Les mutins passent la berge du ravin. [1] – Les putains massent la verge du rabbin.
Les nouilles cuisent au jus de cane [1]. – Les couilles nuisent au cul de Jeanne.
Les nouilles ramollissent dans le corps. – Les couilles ramollissent dans le Nord.
Les parachutistes se font légers pour mieux chuter. – Les parachutistes se font lécher pour mieux juter.
Les pensionnaires se battaient autour des turnes. – Les pensionnaires se tâtaient autour des burnes.
Les ponts de Cologne sont immenses. – Les cons de Pologne sont immenses.
Les présentes élections. – Les plaisantes érections.
Les pures luttes vident nos terres. – Les turluttes vident nos pères.
Les psys ne protègent plus arrières de leurs déments. – Les psys ne protègent plus des derrières de leurs amants.
Les sites et les berges retrouvées – Les bites et les verges retroussées
Les quilles sont rangées en cercle autour d'un vieux fût. – Les filles sont rangées en cercle autour d'un vieux cul.
Les rédacteurs entrent en lutte dans les belles rubriques. – Les rédacteurs entrent en rut dans les belles lubriques.
Les saleurs couchent le thon avant de l'ouvrir . – Les saleurs touchent le con avant de l'ouvrir.
Les touristes ont attrapé des coups dans les Pouilles. – Les touristes ont attrapé des poux dans les couilles.
Les trafiquants ont passé des peaux de lutin à Buenos-Aires. – Les trafiquants ont passé des lots de putains à Buenos-Aires.
Les vertes graines. – Les verges traînent.
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M
modifierMa cousine joue au tennis en pension. – Ma cousine joue au pénis en tension.
Ma dactylo n'a que faire de votre porte-mine – Ma dactylo n’a que faire de votre morte pine.
Ma femme se plaint qu'il n'y ait pas assez de sites dans la Beauce. – Ma femme se plaint qu'il n'y ait pas assez de bites dans la sauce.
Madame, votre caniche sent le moka. – Madame, votre moniche sent le caca.
Madame, votre menthe a un goût de fiel ! – Madame, votre fente a un goût de miel !
Madame, vous avec le Goncourt.– Solution censurée
Mademoiselle, laissez-moi vérifier la cote du mont. – Mademoiselle, laissez-moi vérifier la motte du con.
Mademoiselle, vous n'avez que vos petits pois pour dîner ? – Mademoiselle, vous n’avez que vos petits doigts pour piner ?
MAM[2] a vérifié les quilles de trente sous-marins en tenant des propos calés sur les sonars.[1] – MAM a vérifié les couilles de trente-six marins en tenant des propos salés sur les connards.
Marquise, votre balcon saille dangereusement. – Marquise, votre sale con baille dangereusement.
Ménagez votre course, n'abusez pas des bonds. – Ménager votre bourse, n'abusez pas des cons.
Merkel a pris un petit bouillon puis un gros crack : DSK[3] l'apaise et l'emballe.[1] – Merkel a pris un petit couillon puis un gros braque : DSK la baise et l'empale.
Merkel m'aide. – Mais quel merde.
Métropolitain. – Pétain mollit trop.
Mets ta casquette ! – Masse ta quéquette !
Monsieur, vous avez du feutre sur votre cou ! – Monsieur, vous avez du foutre sur votre queue !
Mots fléchés. – Faut m'lécher.
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N
modifierNadal poupon déballait ses raquettes. – Nadal, pas con, déballait ses roupettes.
Ne critiquons pas les solutions de la peur. – Ne critiquons pas les pollutions de la sœur.
Ne trouvez-vous pas, Mademoiselle, que les Beaux Zarts sont un plaisir des Dieux ?
Nos vœux ! – Vos nœuds !
Nous aurons du cran jusqu'au bout.
Nous habitions des gîtes infâmes quai Branly. [1] (dans Le père Noël est une ordure). – Nous agitions des bites infâmes qui branlaient.
Nous on vit aux champs. – Nous on chie au vent.
Nous voyons bien ce que ces fouilles nous coûtent ! – Nous voyons bien ce que ces couilles nous foutent.
Nul n'est jamais assez fort pour ce calcul. - Nul n'éjacule assez fort pour se calmer.
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O
modifierOn compte souvent plusieurs courses pour un seul but. – On compte souvent plusieurs bourses pour un seul cul.
On dîne mieux quand on est peu. – On pine mieux quand on est deux.
On dort peu à l'hôtel du Bon Coucher. – On dort peu à l'hôtel du Con Bouché.
On peut s'orienter à la faveur d'une sente. – On peut s'orienter à la saveur d'une fente.
On se passe facilement de lutins. – On se lasse facilement de putains.
Ordre de l'Amirauté : Ralentir si on se fait branler un peu à dix nœuds. – ...Ralentir si on se fait branler un nœud adipeux.
Ôte ta lampe que je guette. – Ôte ta langue que je pète.
Où avez-vous péché ces lubies ? – Avez-vous léché ces pubis ?
Ovide exilé rencontra le bonheur au milieu des sites. – Ovide exilé rencontra le sonneur au milieu des bites.
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P
modifierPaquet de son(s) – Passé de con
Parachute. – Char à putes.
Par ce temps orageux, toutes les mites sont au bout. – Par ce temps orageux, toutes les bites sont au mout.
Paris Gare de Lyon – Gary part de Lyon
Pascal Obispo – Pablo Picasso
Pas de bonne chasse sans solides pieds ! – Pas de bonne chiasse sans solides pets !
Pas même un quart de durée – Pas même un dard de curé
Pâte à choux - Chatte à poux
Pénal à Nice : Estrosi fait peindre ses deux logettes.[1] – Pénis anal : Estrosi fait geindre ses deux lopettes.
Pépé aime faire des mimes . – Mémé aime faire des pipes
Peureuse Line. – L'heureuse pine.
Plus d'un enfant des pouilles est mort dans la Castille.
Plus elles mentent, plus elles souillent. – Plus elles sentent, plus elles mouillent.
Plût au ciel que je fusse le cygne de Léda !
Porte-mine - morte pine
Pour atteindre le trou du fût, il faut écarter les caisses. – Pour atteindre le trou du cul, il faut écarter les fesses.
Pour démolir ce pignon il faudrait une bien grosse mine. – Pour démolir ce mignon il faudrait une bien grosse pine.
Pour entrer aux Carmélites il faut savoir utiliser le mot de guichet. – ... il faut savoir utiliser le guodemichet.
Pour parvenir au but il faut beaucoup de courage. – Pour parvenir au cul il faut beaucoup de bourrage.
Pouvez-vous faire mander les basochiens ? – Pouvez-vous faire bander les chiens masos ?
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Q
modifierQuand elle a sa marotte, impossible de compter sur elle. – Quand elle a sa carotte, impossible de monter sur elle.
Quand ils sèchent les linges, ils mouillent les cordes. – Quand ils lèchent les singes, ils mordent les couilles.
Quand je prise les brunes, la noire me fuit [1]. – Quand je brise les prunes, la foire me nuit.
Quel bonheur pour la princesse que la dotation du roi. – Quel bonheur pour la princesse que la rotation du doigt.
Quel beau métier professeur ! – Quel beau fessier prometteur
Quel extraordinaire fouillis de boutres emplit le port du cap ! [1]
Quel gain de place ! – Quel pain de glace !
Quelle bonne mine a Patrice, une bonne mine de Paris [1].
Quelle bouille ! – Belle couille !
Qu'elle cesse Linux ! (Torvalds) – Quel sexe Linus !
Quelle drôle de bille tu faisais. - Quelle drôle de fille tu baisait
Quelle fine mouche ! ! ! Et quel culot ! ! ! ! !
Quelle joie de se sentir quitte au but !
Quelle sale guigne ! Je me suis écorché le flanc !
Qu'on vide ce muid sans qu'on m'en perde ! – Qu'on vide ce puits sans qu'on m'emmerde !
Quelle lettre on boit aujourd'hui . La lettre T ( thé)
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R
modifierRatatouille. – Tata rouille.
Réduisez votre plan à la Grèce. Il n'en sera que mieux. – Réduisez votre gland à la presse. Il n'en sera que mieux.
Rendez-vous dans cette baie, disait le pirate à son matelot. – Bandez-vous dans cette raie, disait le pirate à son matelot.
Répugnante, la graisse de ces faucons ! – Répugnante, la fesse de ces gros cons !
Rien n'est plus gracieux qu'une demoiselle en culotte et en corset ! – Rien n'est plus gracieux qu'une demoiselle encore sotte et enculée !
Rien ne vaut un bon coup de marc après la dînette. – Rien ne vaut un bon coup de dard après la minette.
Rue de la Paix – Pue de la raie
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S
modifierSagesse est source de foi. – Sa fesse est source de joie.
Saint-Nectaire. – Nain sectaire.
Salut Beauté ! – Salaud buté !
Salut Farid ! – Phallus aride !
Salut Fred ! – Phallus raide !
Salut les copains ! – Ça pue les colins !
Salut les potes ! – Ça pue les lottes !
Salut Nicole ! – L'anus y colle !
Salut ma poule ! – Ça pue la moule !
Salut Patrick ! – Ça pue la trique !
Sans fin ni cesse. – Sans sein ni fesse.
Si cette belle Line est déjà passée, que vais-je devenir ? – Si cette belle pine est déjà lassée, que vais-je devenir ?
Si le mineur va chez la patronne, c'est que sa bonniche l'a fait mander.[1] – Si le pineur va chez la matrone, c'est que sa moniche l'a fait bander.
Si les captives veulent manger faites-leur lécher les gamelles des mousses. - Si les captives veulent manger faites-leur lécher les mamelles des gousses.
Si tu touches à mon banc je boude. – Si tu touches à mon bouc, je bande.
Si vous voulez que ces jeunes filles goûtent, donnez-leur des flans. - Si vous voulez que ces jeunes filles foutent, donnez-leur des glands.
Si vous voulez qu'on se taise baillez-moi donc une plume. - Si vous voulez qu'on se baise taillez-moi donc une plume.
Son engin sent le calvados. – Son engin sent le calvados.
Son mari étant au bout, elle fit mander un prêtre. – Son mari étant au mou, elle fit bander un prêtre.
Son parrain a une belle mine. – Son marin a une belle pine.
Sudoku. – Cul au Sud.
Superman a une bouille incroyable – Superman a une couille imbroyable. (mais on l'écrit "imbroyable")
Surveillez la pente par où s'écoule votre fine. – Surveillez la fente par où s'écoule votre pine.
Avec noms propres
modifierSarko fait pécher sa Roselyne et l'impayable Bachelier a chaud. Il la mouche parce qu'elle est alitée.[1] – Sarko fait lécher sa rose pine et l'impayable Bachelot[4] a chié. Il la touche car elle est à limer.
Seize heures de bagnole. – Baiseur de Sagnol.
Serge Wallace, cours Vittel, Bordeaux. - Verge salace, cours vite au bordel.
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T
modifierTacite se promène en babouches. – Ta bite se promène en sa bouche.
Tant de flaques à Crimée. – Tant de fric acclamé, tant de flics à cramer, tant de claques à frimer
Taisez-vous en bas. – Baisez-vous en tas.
Tendez votre lit en vert. – tendez votre vit en l'air
Tintin (contrepèterie belge)
Tout de mon cru. – Trou de mon cul.
Tout sauf les mois d'été. – Mettez tout sauf les doigts.
Tu portes ton tennis. – Tu tords ton pénis.
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U
modifierUn dernier calcul et on s'en va. – Un dernier calva et on s'encule.
Une escalope avec une petite salade. – Une escalade avec une petite salope.
Une escalope sur une petite salade. – Une escalade sur une petite salope.
Une belle thèse. – Une telle baise.
Une dyne.
Une fille honnête ne permet à personne de fouiller dans sa mente. – Une fille honnête ne permet à personne de mouiller dans sa fente
Une mine de chapeau. – Une pine de chameau.
Un tennis de Pro. – Un pénis de trop.
Un beau fruit. – "Un faux bruit."
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V
modifierVie des champs. – Chie des vents
Vilain, tu voudrais que je te mouche ! – Vilain, tu voudrais que je me touche
Voici un bon à toucher en arrivant au Cateau. – Voici un con à toucher en arrivant au bateau
Vos colliers font chics. – Vos coliques font chier.
Votre Cannes sent le coca près du Palais des dîneurs.[1] – Votre conne sent le caca près des pâleurs du dîner (ou encore : Votre conne sent le caca du pet d'après les dîneurs).
Votre don me paraît fort coûteux. – Votre con me paraît fort douteux
Votre tennis est bien propagé. – Votre pénis est bien trop âgé
Votre père a l'air mutin. – Votre mère à l'air putain.
Votre serre est exotique. – Votre sexe est érotique.
Vous avez encore mussé le citron. – Vous avez encore sucé le mitron.
Vous êtes bien bon d'être resté si longtemps à Candé. – Vous êtes bien con d'être resté si longtemps à bander
Voyez la jolie brique que m'a donnée une telle.- Voyez la jolie trique que m'a donnée une belle
Voyez sur ce pont ce caméléon.- Voyez sur ce con se pâmer Léon
W
modifierX
modifierY
modifierZ
modifierSommaire : | Haut - A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z |
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Noms propres
modifierCertains noms propres, de lieux ou de personnes, sont une contrepèterie :
- Thierry d'Argenlieu
- Madame Vigée-Lebrun.
- Lycée Ampère (lycée de Lyon)
- La rue de la Paix
- École nationale supérieure des mines de Paris
- Jules Verne
- Alphonse de Lamartine
- De Gaulle
- Jean-Marie Le Pen (définition de Jean Cocteau)
- Le groupe de rap NTM
- Patachou
- Paul Piché
- Jean-Luc Bideau (double)
- Ben Attal (plusieurs solutions)
- La rue Duquesne (rue de Lyon)
- Quai Branly (rue de Paris)
- Marinette Pichon
- Pete Sampras
- Dallas
- Lucas Pouille (tennisman français)
Marques et slogans
modifierVoici quelques marques et slogans publicitaires porteurs de contrepèteries :
- « Mammouth écrase les prix »[5] / Mamie écrase les prouts
- Nous, on vit Auchan / Nous, on chie au vent
- L'effet Kiss Cool / Les fesses qui coulent
- La Pie qui chante / La pente qui chie
- La vache qui rit / L'avare qui chie
- La Banque postale / La Poste bancale (sans mots tabous, contrairement à « En pull Lacoste » / Encule la poste)
- L'esprit d'Hugo Boss / l'esprit du beau gosse
- Les berges sont à vous / Les verges sont à bout (publicité de la Mairie de Paris pour Paris Plages 2013)
Revues
modifierQuelques revues :
- Nous Deux / Nœud doux ou Doux nœud
- Le Matin de Paris / Le patin de Marie
- Après l'élection de Jacques Peyrat à la mairie de Nice, Nice Matin[6] titra cette double contrepèterie : Peyrat de Nice : après le doute, la joie.
Cinéma et télévision
modifierDes films :
- Conan le Barbare : Connard le Barbant
- Cœur de Dragon : Con de Dragueur
- La Colline des bottes (western avec Terence Hill),
- Qui veut la peau de Roger Rabbit ? : Qui veut la bite de Roger Rapeau
Des émissions de télévision :
- Les Maçons du cœur : Les cons de ma sœur
- Le Jacky Show : Le Jacquot chie
Expressions anodines
modifierDes expressions anodines :
- Quel sinistre mot / Quel ministre sot
- Le temps abolit les mythes / Le temps amollit les bites.
- Quel beau métier, professeur / Quel beau fessier prometteur (Jacques Antel dans « Le Tout de mon Cru », Pauvert 1975, La Musardine, 2002)
- Salut Fred / Phallus raide
- Salut les potes / Ça pue les lottes
- Salut Patrick / Ça pue la trique
- Salut les copains / Ça pue les colins
- Le choix dans la date / Le doigt dans la chatte
- D'une pierre deux coups / D'une paire de couilles (son « yè » dans « pierre » découpé en deux phonèmes distincts)
- Parachute / Char à putes
- Barrette de shit / Charrette de bites
- Fumer comme un pompier / Pomper comme un fumier
- Prenons la chose en riant / Prenons la rose en chiant
- Laissez-moi constater / Laissez-moi tâter c'con
- Mouiller les couches / Couiller les mouches / Moucher les couilles
- Un bouilleur de cru / Un couilleur de bru
- La vie des berges / La verge des bis
- La feuille d'acanthe / La fente d'accueil
- J'aime vachement ton frangin / J'aime franchement ton vagin
- Il faut battre le fer quand il est chaud / Il faut battre le cher quand il est faux
- Hachis parmentier / Ami partant chier
- Grand prix de tennis / Grand tri de pénis
- Je sèche le linge / Je lèche le singe
- Couper les nouilles au sécateur / Couper les couilles au sénateur
- Le cuisinier secoue les nouilles / Le cuisinier se noue les couilles
- Glisser dans la piscine / Pisser dans la glycine
- Patin à roulette / Latin à roupette
- La butte se pare / La pute se barre
- Goûtez au sport, ça rend ferme / Goûtez au sperme, ça rend fort
- Food-truck / Trou de fuck
- La Corse au fût / La force au cul
- Quai Branly / Qui branlait
Notes
modifier- ↑ 1,00 1,01 1,02 1,03 1,04 1,05 1,06 1,07 1,08 1,09 1,10 1,11 1,12 1,13 1,14 1,15 1,16 1,17 1,18 1,19 1,20 1,21 1,22 1,23 1,24 1,25 1,26 1,27 1,28 1,29 1,30 et 1,31 signifie que la phrase comprend au moins deux contrepèteries.
- ↑ Michèle Alliot-Marie, alors ministre de la Défense en France.
- ↑ Dominique Strauss-Kahn.
- ↑ Roselyne Bachelot, alors ministre français de la santé.
- ↑ Révélé par Coluche dans le sketch de la publicité
- ↑ Voir le blog michel13blog.canalblog.com du 31 décembre 2010.
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