Détermination des minéraux/Autres méthodes de détermination

Sommaire
Déterminer avec la duretéDéterminer avec la couleurDéterminer avec la traceDéterminer avec la transparenceDéterminer avec l'éclatDéterminer avec le clivage et la cassureDéterminer avec la morphologieDéterminer avec la densitéDéterminer avec la réactivité aux acides, au bases et à l'eauDéterminer avec la radioactivité, la luminescence, la fluorescenceDéterminer avec la couleur de la flamme


L'intégralité de ce livre est issu de la page « La détermination des minéraux » publiée sous licence GFDL du site GéoWiki en sa version du 2 juillet 2009 à 18 h 15. Les auteurs originaux sont consignés dans l'historique : 1frangin, Papyfred, Le sablais, Théophraste et 1GM.

La page « Minéraux par dureté » est issue de cette page, toujours de GéoWiki, en sa version du 5 juillet 2009 à 6 h 22, sous licence GFDL. Les auteurs originaux sont consignés dans l'historique : 1frangin , Runaway , Le sablais.

La page « Minéraux par couleur » est une création originale.
  • La radioactivité se détecte grâce à un compteur Geiger ou à un dosimètre.
  • Le magnétisme ou son manque est assez simple à trouver, grâce à un aimant.
  • Autres:
    • L'odeur : certains minéraux émettent une odeur caractéristique : le soufre a une odeur particulière. Il en va de même pour l'arsénopyrite (ou Mispickel pour les nostalgiques) qui à la cassure fraîche, présente une odeur d'ail.
    • solubilité : certains minéraux sont solubles dans l'eau (ex: halite ou sel gemme). D'autres se dissolvent dans un acide ou une base (carbonates dans HCl (l'acide chlorydrique), avec ou sans effervescence).

La diffractométrie X est une méthode permettant d'identifier le minéral grâce à la figure de diffraction créée par des rayons X. C'est une méthode rapide et sûre, mais très onéreuse (un diffractomètre coûtant typiquement 100 000 EUR).