Généralement les automates cellulaires sur déroulent sur une grille carrée composée de cellules elle aussi carrées.

Variation de la géométrie des cellules

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Il existe cependant une infinité de possibilités à partir de divers polygones (régulier ou non, unique ou non).

 
Une structure oscillante sur une grille hexagonale.

Et globalement tous les pavages réguliers (il en existe trois : cellules carrées, triangulaires, ou hexagonales eg. HexLife), semi-réguliers (il en existe 8+1), voire même à partir de pavages semi-périodiques (comme le w:pavage de Penrose).

Finitude de la grille

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En générale, on utilise une grille supposée infinie. Mais il existe des variations courantes avec des espaces finis mais non bornés (ie. un solide).

 
Un tore.

Si les cellules sont des polygones réguliers, il n’existe que neuf polyèdres possédant un petit nombre de face. On simplifie le calcul (en restant dans le cadre du voisinage de Moore) mais on limite très fortement la grille. Pour avoir des grilles de plus grande taille, la solution la plus courante est d’utiliser un tore (qui respecte le voisinage de Moore).